« Un classique de la littérature inuite a retrouvé ses racines. Après 50 ans, Chasseur au harpon, premier roman autochtone publié au Canada, a enfin été traduit en français et en anglais à partir du texte original en inuktitut. »
Marie Tison – La Presse +
[Entrevue avec Marc-Antoine Mahieu, traducteur]
« Le récit, qui est rédigé de quatre points de vue différents, plonge le lecteur dans le quotidien d’une communauté inuit et dans la dynamique culturelle entre les hommes et les femmes. »
Matisse Harvey – Ici Grand Nord (RC)
[Entrevue avec les traducteurs]
« Ce n’est pas l’horreur, ici, qui cause la chair de poule, mais bien une manière de raconter qui nous fait accepter que des sorcières, des démons, des fantômes sortent la nuit ou veillent dans les eaux profondes. »
Josée Boileau – Journal de Montréal
[Critique]
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- Condoléances
- Collectif
- Québec Amérique
- ean : 9782764441541
- prix : 22,95 $
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« Parce que les vivants qui y passent ne savent souvent pas comment s’habiller ni se tenir, ce qu’il est permis de dire ou de faire, Catherine Côté et Audrey Boutin ont eu envie de réunir douze auteurs autour du salon funéraire. »
Léa Harvey – Le Soleil
[Entrevue]
« Dans la nuit du 26 décembre 2018, l’écrivain et acteur Robert Lalonde et sa conjointe ont vécu une catastrophe : leur maison des Cantons-de-l’Est a été complètement détruite par un incendie. De cette expérience difficile, il tire des enseignements précieux et un trésor de sagesse et d’espoir : La reconstruction du paradis. »
Marie-France Bornais – Journal de Montréal
[Entrevue]
« Colette Brossoit doutait, à tort, que ses textes avaient ce qu’il fallait pour être publiés. […] Il y a dans Ne regrette pas ce qui se dérobe comme un affront à la tristesse qui m’émeut d’autant plus que Colette Brossoit y raconte avec franchise au prix de quel effort elle a chaque jour tenté de tourner le dos au désespoir, en ayant le courage de vivre pour vrai, malgré la méfiance que la vie lui inspirait. »
Dominic Tardif – Les Libraires
[Critique]