Sous-majordome (Le)
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« Après Les frères Sisters, un western déjanté qui a remporté le Prix des libraires du Québec, Patrick deWitt nous revient avec une comédie délicieusement loufoque ! Une histoire à la fois fantasque et fantastique qui a réussi à nous rappeler les contes du génial écrivain italien Italo Calvino. »
Karine Vilder – Journal de Montréal
[Critique]
« Il y a beaucoup d’humour, de cynisme. Un livre qui nous amène ailleurs. C’est un pur divertissement. Un auteur à la plume très belle. Et aussi hyper bien traduit. »
Anne Michaud – Radio-Canada/Les matins d’ici
[Critique]
« Imaginez un parent du Candide de Voltaire qui se baladerait dans le monde des frères Grimm avec, en guise de décor, le Grand Budapest Hotel de Wes Anderson. Vous auriez là une idée du ton, du style du Sous-majordome, le nouveau roman de Patrick deWitt. »
Sonia Sarfati - La Presse +
[Entrevue]
« Un roman bourré de rebondissements, de protagonistes truculents et d’un humour tout à fait jouissif. »
7 jours
« J’ai beaucoup aimé. C’est un mélange entre un conte, une espèce de comédie d’humeur et un livre de croissance personnelle. […] C’est une réflexion par rapport à la capacité de l’amour à pouvoir avilir un homme.
Luis Clavis – Radio-Canada/Plus on est de fous, plus on lit
« Descriptions colorées, intrigue amusante, scènes éhontément étranges et répliques piquantes. »
Dominic Tardif – Le Devoir
[Entrevue dans le journal Métro]
« Dans ce délicieux nouveau roman de l’auteur des Frères Sisters, on suit le jeune Lucien qui, pour tromper l’ennui, quitte son village et devient sous-majordome au château du baron d’Aux. Chagrin d’amour, pulsion meurtrière et beaucoup d’humour noir au menu. »
Lisanne Rheault-Leblanc – Clin d’œil
« Patrick deWitt nous offre ici une autre de ses irrésistibles inventions ludiques sous forme de conte gothique. »
Martine Desjardins – L’actualité
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