Carnet de parc
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« Après le puissant Hiroshimoi, la professeure de philosophie ouvre un journal intime écrit lors d’un séjour dans un centre de sauvetage. Entre les divers ateliers de reconstruction, la narratrice explore le fond creux de ses pensées dépressives avec une vulnérabilité assumée, des formules dures qui touchent le mou du cœur et de l’humour qui fait office de bouée. »
Laura Martin - Coup de pouce
[Entrevue à Pénélope (RC)]
« " J’écris avec mon ici. " Quand Véronique Grenier le dit, elle se recroqueville un peu sur elle-même en pointant son cœur, son ventre, son intérieur. Là d’où viennent tous ces mots qui disent si bien les morts multiples que l’on traverse, les déceptions répétées, la peur du vide, l’envie de se poser. Ces mots si justes qu’elle a posés dans son Carnet de parc. »
Natalia Wysocko – La Presse +
[Entrevue]
« Ce bouquin de 100 pages, découpé en courts chapitres, lesquels peuvent être perçus comme des " tableaux ", chacun abordant un ou des aspects particuliers d’une crise personnelle. C’est là où s’exprime toute la poésie de l’autrice, avec force images, symboles et allégories. »
Steve Bergeron – La Tribune
[Entrevue]
« L’auteure Véronique Grenier cherche à explorer avec son troisième recueil de poésie les nombreuses crises existentielles à traverser au cours d’une vie, dans l’espoir qu’il soit possible ensuite de les éprouver pleinement, sans fuite ni déni. »
Gabriel Beauchemin – 24h
[Entrevue]
« C’est extrêmement original. Je me suis beaucoup régalée. »
Marie-Claude Veilleux – Radio-Canada/Par ici l’info
[Entrevue]
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