République du bonheur (La)
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« Après nous avoir présenté son héroïne, Poppa, dans La papeterie Tsubaki – dont la lecture n’est pas un préalable pour qu’on se prenne d’affection pour cette écrivaine publique – Ito Ogawa lui donne un mari, une fillette et d’autres clients attachants. Il en résulte La république du bonheur et un univers un rien enfantin qui fait du bien. »
Carolyne Parent – Elle Québec
« Marre des turbulences de 2020 ? La république du bonheur vous tend les bras. […] Un véritable jardin zen littéraire, illustré de belles calligraphies, même s’il paraîtra peut-être un peu déroutant pour les lecteurs peu familiers avec la culture nippone. »
Sylvain Sarrazin – La Presse +
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