Roitelet (Le)
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« La nature et la vie intérieure sont au cœur de ce récit. Un roman qui traite de la maladie mentale, mais sans jugement. Jean-François Beauchemin arrive en quelques phrases à nous faire comprendre qu’il y a toujours un revers à la médaille. On est vraiment dans la nuance des émotions. C’est une lecture qui m’a fait beaucoup de bien. C’est d’une grande beauté. »
Évelyne Charuest – Dessine-moi un dimanche (RC)
« Un texte réflexif, tout en délicatesse et en bienveillance, sur l’amour fraternel et la maladie mentale. »
Iris Gagnon-Paradis – La Presse +
« Jean-François Beauchemin se penche sur la fragmentation de l’identité en décrivant avec pudeur et délicatesse la relation fusionnelle entre un écrivain aspirant à la quiétude et son frère cadet souffrant de schizophrénie. »
Manon Dumais – Le Devoir
[Entrevue à Culture club (RC)]
« Ce petit bijou établit un subtil parallèle entre la maladie mentale et le monde des oiseaux, aborde avec élégance la douleur humaine, de même que la bienveillance et la sollicitude. »
Marie-France Bornais – Journal de Montréal
[Entrevue]
« Avec Le Roitelet, on est plongé dans le quotidien tranquille d’un écrivain qui relate la vie discrète de son frère schizophrène, et c’est captivant ! »
Josée Boileau – Journal de Montréal
[Critique]
« Dans Le Roitelet, son 23e ouvrage, l’auteur fait le pari de la différence en racontant la vie de deux frères qui s’acceptent, s’aiment et se supportent malgré la maladie. […] Un roman réflexif, voire philosophique. »
Léa Harvey – Le Soleil
[Entrevue]
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