Dix-sept, rue Villagatan, Stockholm
Dix-sept, rue Villagatan, Stockholm
Gagnon, Pierre-Louis  
  • Éditeur : Lévesque éditeur
  • Collection : Réverbération
  • EAN : 9782897631468
  • Code Dimedia : 000221686
  • Format : Broché
  • Thème(s) : LITTÉRATURE - FICTION & ESSAI
  • Sujet(s) : Littérature québécoise, Polar / Roman noir
  • Pages : 264
  • Prix : 25,95 $
  • Paru le 8 novembre 2021
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EAN: 9782897631468

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Fin novembre 1939, quand éclate la guerre entre l’URSS et la Finlande, Aleksandra Kollontaï est l’ambassadrice soviétique à Stockholm. Au cours de ce conflit, connu sous le nom de Guerre d’hiver, Kollontaï est mise au parfum d’un secret d’État qui va changer le cours de son existence. À Stockholm, une mystérieuse organisation sème la terreur afin que le gouvernement suédois abandonne sa politique de neutralité à l’égard de ce conflit. La tension est à son comble quand l’ambassade soviétique, située au dix-sept, rue Villagatan, est touchée par un attentat. L’enquête policière piétine et le gouvernement de Per Albin Hansson, qui fait l’objet d’énormes pressions, exige des résultats rapides.

Véritable thriller politique, ce roman met en scène l’une des diplomates les plus flamboyantes du XXe siècle.

AUTEUR(S)

Pierre-Louis Gagnon habite à Montréal et est l’auteur du roman La disparition d’Ivan Bounine, traduit en russe et publié à Moscou à l’automne 2020. Il a publié trois autres romans chez Lévesque éditeur : Le testament de Maïakovski, Le scandale de la tour byzantine et Le rendez-vous de Damas.

Extrait

« Le pacte d’amitié signé entre Moscou et Berlin en août 1939 avait complètement changé la donne. Incapable de s’adapter à cette nouvelle réalité, Ehrenbourg se retrouvait maintenant sur le carreau. Staline n’avait plus besoin de tambourineurs de sa trempe pour dénoncer les complots d’Hitler depuis qu’ils étaient devenus des alliés.
 
Comme tout le monde, Kollontaï avait vu dans la presse la photo prise au Kremlin montrant Staline et Joachim von Ribbentrop, l’envoyé personnel d’Hitler, porter un toast à leur amitié toute neuve. Elle avait été sidérée de lire que le grand leader prolétarien avait à cette occasion affirmé que le Führer était aimé du peuple allemand. »




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