Revue XYZ de la nouvelle, no 143
Revue XYZ de la nouvelle, no 143
Sex, drugs and rock'n'roll / La jeunesse ne meurt jamais
Collectif  
  • Éditeur : Revue XYZ de la nouvelle
  • Collection : Hors-collection
  • Code Dimedia : 000212172
  • Format : Revue & périodique
  • Thème(s) : LITTÉRATURE - FICTION & ESSAI
  • Sujet(s) : Littérature québécoise, Nouvelles
  • Pages : 104
  • Prix : 12,00 $
  • Paru le 17 août 2020
  • Statut : Disponible
  • Code de recherche: REVNOU
  • Groupe: Littérature - Revues et divers
  • Date de l'office: 12 août 2020
  • Langue d'origine: français

Parce que les temps sont durs, les époques bénies nous font du genou. Si la jeunesse ne meurt jamais, il reste le souvenir (et parfois, consubstantielle, la souffrance). Dans ce numéro thématique piloté par Christiane Lahaie et Marie-Claude Lapalme, XYZ présente des textes de cuites (Patrick Nicol), des adolescences tourmentées (Fanie Desmeules, M.K. Blais, Marie-Claude Lapalme), des gangsters à guitare (Georges Desmeules), des spectacles épiques (Nicolas Guay)… Et comme la nouvelle est ce genre qui sait piquer là où ça fait mal, elle nous rappelle plus souvent qu’autre­ment qu’il faut parfois se garder de glorifier le passé.
 
La revue fait également paraître le texte du lauréat de notre concours Pascal Blanchet : « Nocturne à la tête de chat ». Cette nouvelle sur les difficiles fins de vie dans les centres de soins longue durée a quelque chose d’effroyablement prémonitoire. Pour cette trentième édition du concours, le prix était accompagné d’une bourse de 2 000 $ ainsi que d’une adhésion d’un an au Centre québécois du P.E.N. international.
 
Cinq nouvelles paraissent en thème libre : Nathalie Nadeau signe un texte sur les années d’université, Paul Ruban, lauréat du prix Trillium 2020 pour son recueil de nouvelles Crevaison en corbillard, propose une nouvelle sur l’appartenance au temps des tatouages, le libraire Bruno Lalonde offre un texte sur une bibliothèque de livres bien mystérieuse, la nouvelle de Samuel Homier, dramatique et sensuelle, traite de deuil et de sexualité; enfin, Olivier Talbot propose une allégorie sur le thème d’Abel et Caïn.
 
Trois comptes rendus ferment ce numéro : les recueils traduits de l’anglais de Paige Cooper et de Melissa Bull ainsi que le recueil de David Bélanger sont pré­sentés. On se verse un verre de rouge et on apprécie!




NB : Les prix indiqués sont sujets à changements sans préavis.