Estuaire, no 178
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Il y a l’eau qu’on boit, celle qui lave ou purifie, celle qu’on contemple et dont la traversée donne à rêver. Il y a la pluie qui tombe du ciel, en petite bruine ou en tempête. Il y a l’océan, les vagues qui viennent et reviennent. Il y a les étangs, les rivières. Il y a la surface calme ou agitée, les marées qui montent et qui descendent. Il y a l’eau claire et l’eau trouble.
Pour son cent soixante-dix-huitième numéro, le comité de rédaction d’Estuaire a invité onze poètes à écrire sur l’eau et la nage.
Bonne plongée!
Extrait du liminaire « Eaux troubles »
Poèmes
Geneviève Blais
Simon Brousseau
Isabelle Dumais
Rose Eliceiry
Jonas Fortier
Flavia Garcia
Nicholas Giguère
Anne Martine Parent
Jean-Christophe Réhel
Stéphanie Roussel
Marie-Hélène Voyer
Critiques
Zéa Beaulieu-April, Golgotha de Benoit Jutras
Élisabeth Chevalier, Nous faisons l'amour de Jonathan Lamy
Monique Deland, Des conditions s'appliquent de François Hébert et Une longue phrase jusqu'à ma disparition de Martin Thibault
Roxane Nadeau, Monstres marins d'Aimée Verret
François Rioux, Il n'y a plus d'après de Paul Chanel Malenfant
Traductions
Cecilia Pavón par Olivia Tapiero
Impérities
« (19 mars - 21 juin 2019) » par Nathanaël
Couverture – Eveline Boulva
NB : Les prix indiqués sont sujets à changements sans préavis.