« Avec ce roman à l’architecture et aux thématiques ambitieuses, Catherine Leroux multiplie les surprises et les couches narratives pour remettre en question les notions de chez-soi, de survie et de vérité. » Anne-Frédérique Hébert-Dolbec, Le Devoir
« [Peuple de verre], ça se lit comme un thriller, avec une bonne dose de critique sociale [...]. Tout ce qui se trouve dans les pages, c'est extrêmement riche: l'acuité des réflexions, la sensibilité de la romancière et le plaisir d'un bon bouquin. J'ai ouvert ça un samedi après-midi et je me suis redressée des heures plus tard une fois que j'étais rendue à l'autre couverture. C'est déjà dans mes lectures préférées de l'année. » Claudia Hébert, Dessine-moi un matin (ICI Première)
« Il y a quelque chose d’apaisant dans le livre. D’abord dans la façon dont c’est écrit. C’est aéré, c’est espacé. C’est aussi l’occasion pour le lecteur de prendre son temps. » Paul Arcand, Puisqu’il faut se lever (98,5 FM)
« C’est un vrai délice! […] On peut y plonger et y replonger comme dans une baignoire. » Patrick Masbourian, Tout un matin (ICI Première)
« Roman d’amour, d’amitié et du quotidien avec ses défis et ses douceurs, récit léger, mais prenant, écrit dans une langue cinématographique, cette autofiction sent bon les muffins à l’orange et la soupe qui mijote. » Marie Fradette, Le Devoir
« Écrivaine sensible, vibrante, au remarquable sens comique, Dominique Demers partage des aventures étonnantes, parfois dramatiques, parfois loufoques, dans cette nouvelle autofiction qui peut très bien se lire indépendamment de Mon fol amour. Mais ne vous privez pas: lisez les deux pour entrer complètement dans l’univers tragi-comique de Dominique. » Marie-France Bornais, Journal de Québec