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« C’est très terrifiant comme roman. J’ai eu peur pour vrai, du début à la fin, j’avais envie de savoir ce qu’il allait leur arriver. C’est un roman qui peut vous faire vivre des émotions. » Alexis Tremblay Rythme FM
Édition du 25 juillet 2025
Vil et misérable
de Samuel Cantin
Nouveautés de la semaine
Dans les médias
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« C’est très terrifiant comme roman. J’ai eu peur pour vrai, du début à la fin, j’avais envie de savoir ce qu’il allait leur arriver. C’est un roman qui peut vous faire vivre des émotions. » Alexis Tremblay Rythme FM
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« Myriam Ouellette ne s’imaginait pas écrire sur la leucémie agressive qui a failli la tuer. Avec Souches, elle signe pourtant un des livres les plus douloureusement, et lumineusement, justes sur le cancer. » Dominic Tardif, La Presse
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« Cette magnifique adaptation du classique de la littérature britannique de 1972 […] réussit le tour de force de séduire aussi bien les lecteurs découvrant l’histoire que les fidèles de la première heure. Une œuvre puissante et intemporelle, qui confirme que la bande dessinée peut, elle aussi, toucher au sublime. » Ismaël Houdassine, Le Devoir
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« L’intrigue est brillamment conduite grâce à son compte rendu méticuleux, qui explore les dédales du piratage informatique, l’histoire houleuse de l’Albanie et l’intimité des trajectoires personnelles. » Geneviève Tremblay, L'Actualité
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« Docteur Landry se révèle finalement peut-être davantage comme un professeur, un passeur, qu’un toubib. Il a été témoin et acteur d’une période charnière de réinvention de l’identité québécoise et il s’en fait ici l’adroit scribe. » Félix B. Desfossés, Le Devoir
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« Comme toujours chez Scott Thornley, l’enquête est à la fois touffue et serrée, truffée de rebondissements inattendus […]. Mais il y a surtout que tout sonne vrai dans cette histoire captivante reposant sur des personnages que l’on connaît désormais dans toute leur complexité, MacNeice en premier […]. Tout au long du récit, la traduction d’Éric Fontaine parvient à rendre les subtilités de ses hésitations tout comme celles de l’écriture généreuse de Thornley. Bravo ! » Michel Bélair, Le Devoir