Au plus clair de la lumière
Au plus clair de la lumière
Chant pour l'enfant qui revient
Régimbald, Diane  
  • Éditeur : Noroît (Du)
  • Collection : Hors-collection
  • EAN : 9782897663094
  • Code Dimedia : 000221324
  • Format : Broché
  • Thème(s) : LITTÉRATURE - FICTION & ESSAI
  • Sujet(s) : Littérature québécoise, Poésie
  • Pages : 88
  • Prix : 22,00 $
  • Paru le 20 septembre 2021
  • Statut : Disponible
  • Code de recherche: PLUCLL
  • Groupe: Poésie
  • Date de l'office: 15 septembre 2021
  • Code DEWEY:
  • Langue d'origine: français
  • Traducteur:
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EAN: 9782897663094

Aussi disponible en version numérique:

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Les 66 poèmes d’Au plus clair de la lumière. Chant pour l’enfant qui revient soulèvent des résistances, des peurs, des questions : pourquoi être, comment devenir? Depuis l’enfance, se révèlent une traversée des mythes, des pulsions vie et mort, un désir profond de liberté et de connaissance. La révolte est sauvage et la douleur survit dans ce chant pour l’enfant qui revient. Ce sont des impératifs appelés par l’urgence de tenter le vivant, de risquer sa parole. Une manière d’inventer les actions possibles, de répondre à une voix qui dicte des vents contraires, qui force des temps, provoque des mystères, pousse la pensée, ouvre le cœur à sa résonance. Il y a une ligne basse continue qui lie les verbes en les contenant comme un murmure à peine audible et traverse par eux leur erre d’aller.

AUTEUR(S)

Diane Régimbald vit à Montréal. Elle a publié une dizaine de livres de poésie et contribué à des collectifs, des anthologies et des revues dans divers pays. Elle participe depuis plusieurs années à des activités littéraires au Québec et à l’étranger. Certains de ses textes ont été traduits en anglais, en catalan et en espagnol. Elle est membre du CA du Centre québécois du P.E.N. international depuis 2015 et préside son Comité Femmes depuis 2017. Elle organise des lectures de poésie avec le Centre des arts de Stanstead en Estrie.

En France, sont parus : Toi au soleil pâle ou brûlant (2021) et De mère encore (2018) aux éditions du Petit Flou; Cœur d’orange à L’Atelier des Noyers (2020).

AU NOROÎT, elle a publié Au plus clair de la lumière. Chant pour l’enfant qui revient (2021), Sur le rêve noir (2016), L’insensée rayonne (coll. Résonance, 2012, finaliste au Prix du Gouverneur général 2013), Pas (2009), Des cendres des corps (2007), Pierres de passage (2003) et La seconde venue (1993).


Irene Whittome vit et travaille à Montréal et à Ogden en Estrie. Entre 1995 et 2000 son travail a fait notamment l’objet de quatre expositions individuelles dans des lieux institutionnels : au CIAC – Centre international d’art contemporain de Montréal (1995), au Musée d’art contemporain de Montréal (1997), au Centre canadien d’architecture (1998) ainsi qu’au Musée national des beaux-arts du Québec (2000). En 2001, elle commence à travailler dans la région de Stanstead pour la réalisation de Conversation Adru présenté à la Galerie d’art de l’Université Bishop (aujourd’hui Galerie d’art Foreman) (2004). Elle achète en 2003 une carrière de granite désaffectée à Ogden et y construit son atelier pour y travailler en 2004.
 
Irene F. Whittome a remporté, pour son excellence artistique, le prix Victor-Martyn-Lynch-Staunton du Conseil des Arts du Canada (1991), le Prix de la fondation Gershon Iskowitz, Toronto (1992), le prix Paul-Émile-Borduas du Gouvernement du Québec (1997) et le Prix du Gouverneur général en arts visuels et en arts médiatiques (2002). En 2005, elle a été nommée officier de l’Ordre du Canada. Ses œuvres font partie des collections des plus importants musées canadiens et elle est représentée, depuis 2005, par la Galerie Simon Blais à Montréal.
 
AU NOROÎT, on retrouve ses œuvres dans Au plus clair de la lumière. Chant pour l’enfant qui revient (Diane Régimbald, 2021).

Extrait

Appelle-moi je te répondrai c’est
assuré je te dirai que chez moi il fait
froid jusque dans les os que ma tête n’a
plus toute sa tête mais confie-moi tes
secrets je te dirai les mots dont tu as
besoin – il y a trop de noirceur
partout trop de deuil la violence se
transforme si souvent en blessure qui
ne guérit pas – ne perds pas la tête toi
aussi n’efface pas les traces refuse les
jugements – je peux rassembler les
pièces déchirées des habits que tu
portes




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