Ethique et condition humaine
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L’unité plurielle dans la théorisation de la condition humaine peut comporter une série d’approches, restées à des distances variables des sciences humaines. Dès lors, sans sous-estimer leur apport à une reprise anthropo-logique (en marquant d’un trait d’union cette élucidation "trans-ethnologique"), ce sont des thématiques originales et complémentaires, présentées à divers publics, qui ont été rassemblées ici.
Si elles sont compatibles avec un ordre efficace, la conjoncture a permis aussi de déterminer à partir de 1988 - dans le cadre d’un congrès mondial de philosophie - les traits majeurs d’une Anthropo-logique enjoignant comprendre et expliquer l’homme : aux dépens de tout positivisme, comme de son vis-à-vis "phénoménologico herméneutique". Là où, paradoxalement, ils seraient disjoints dans le négatif d’un mal "explicable dans l’extériorité du monde", bien que se soustrayant à tout "comprendre". L’ouverture génético-structurale honorée par l’épistémologie piagétienne et la linguistique guillaumienne aura aidé à résister au réductionnisme, comme aux recours injustifiés à quelque transcendance.
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