Déesse des mouches à feu (La)
| Aussi disponible en version numérique: |
« Geneviève Pettersen a mis son alter ego madame Chose en veilleuse pour écrire son premier roman, La déesse des mouches à feu, qui raconte l’adolescence extrême d’une jeune fille vivant à Chicoutimi-Nord en 1995. Un portrait cru, assorti à un hommage à la région du Saguenay et à sa langue, par une écrivaine avec laquelle il faudra compter. »
Josée Lapointe – La Presse +
[Entrevue]
[Entrevue à Plus on est de fous, plus on lit (RC)]
« Avec beaucoup de maîtrise, l’écrivaine a su prêter à La déesse des mouches à feu une langue trempée dans l’oralité de son époque et de la région qu’elle décrit, fautes de grammaire en prime. Elle parvient à insuffler la vie et à donner de la texture et des fêlures à ce personnage d’adolescente qui arrive à briller dans le noir, cousine lointaine du Holden Caulfield de L’attrape-coeurs. Puissant. »
Christian Desmeules – Le Devoir
[Critique]
« C’est une histoire crue, une langue crue, mais on a l’impression d’y être. C’est écrit avec beaucoup de rigueur. C’est impeccable, c’est vraiment très bon et rythmé. Et ça se termine sur un punch que je n’ai pas vu venir, qui est formidable. Je vous le conseille. »
René Homier-Roy – Radio-Canada/La bibliothèque de René
[Critique]
« Un livre qui se dévore. J’ai beaucoup apprécié. »
Jean-François Coulombe– Radio-Canada/La fin de semaine est à 7 heures
[Entrevue]
« Geneviève Pettersen signe avec La déesse des mouches à feu un premier roman percutant et au propos, somme toute, quasi banal : l’adolescence. […]Geneviève Pettersen a cette facilité à nous faire revivre l’adolescence, à nous replonger dans ce qu’il y avait de plus laid et de plus beau, dans ces années turbulentes, qu’on exécrait, pour la plupart. » ****
Julie Ledoux – Voir
[Critique]
« Un premier roman extrêmement réussi. On parle de divorce, d’amitié, de musique… Le témoignage est très près de la réalité. […] Le rythme est très soutenu. Un portrait très réussi de la jeunesse. L’auteur a une plume très efficace. »
Julien Morissette – Radio-Canada/Bernier et cie
[Critique]
« Très habile, inventif à tous points de vue. Et délicieusement irrévérencieux. »
Danielle Laurin – Le Devoir
« Tout le monde a dit du bien de ce premier roman, qui raconte, dans une langue colorée et crue, la vie d’une adolescente dégourdie à Chicoutimi-Nord. J’en rajoute : c’est captivant. Particulièrement si vous avez ʺ découvert la vie ʺ dans les années 90 avec des Doc Martens aux pieds et du Nirvana dans votre Discman. Très fort. »
Hugo Dumas – La Presse
« La déesse des mouches à feu est un roman dur, violent, sans concession. Et pourtant touchant. Calquée sur l’oralité et farcie d’expressions saguenéennes, réelles ou inventées, la langue de Geneviève Pettersen est explosive et crue. »
Danielle Laurin – Elle Québec
« C’est un livre remarquable. L’écriture est particulière. C’est tellement juste. Le ton est impeccable. On ne peut pas quitter ce livre sans avoir un frisson. »
Chrystine Brouillet – TVA/Salut Bonjour Week-end
« Un roman formidable que j’ai adoré. C’est super bien écrit. »
Guy A. Lepage – Radio-Canada/Tout le monde en parle
[Entrevue]
*** Il se peut que certains liens ne fonctionnent plus. Merci de nous en aviser.
NB : Les prix indiqués sont sujets à changements sans préavis.
