Filles bleues de l'été (Les)
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« Une très, très belle plume d’une jeune auteure de 22 ans. Elle a un talent brut. Une jolie poésie qui est chargée en émotions. Au niveau de l’écriture, c’est très impressionnant. […] Une lecture qui n’est pas légère, mais c’est d’une grande beauté et ça décrit merveilleusement bien l’angoisse, la peine d’amour, la dépression, les troubles alimentaires… » Julien Morissette
Julien Morissette – Radio-Canada/Bernier et cie
[Critique]
« À 22 ans, Mikella Nicol publie un premier roman dans lequel l’amitié fusionnelle entre deux jeunes filles devient un rempart contre les agressions du monde, dans un refus qui tient de l’absolu. Les filles bleues de l’été, ou la naissance d’une nouvelle voix à vif dans son sujet. »
Chantal Guy – La Presse +
[Entrevue]
« C’est un très beau roman, très réussi. »
Marie-Louise Arsenault – Radio-Canada/Plus on est de fous, plus on lit
[Entrevue]
« Les filles bleues de l’été est à inscrire au registre des réussites tant sur le plan formel que pour les émotions contradictoires qu’il suscite. Il y a dans ce livre une force d’évocation exemplaire. Et une violence sourde, au travers des éclats de beauté, qui n’est pas sans rappeler Anne Hébert, à qui l’auteure a emprunté le titre de son livre. »
Danielle Laurin – Le Devoir
[Critique]
« Un premier roman absolument magnifique. […] La grande qualité de ce livre-là : c’est la langue. C’est très beau. Une écrivaine à surveiller. »
Anne-Josée Cameron – Radio-Canada cet après-midi
[Critique]
« Un premier roman remarquable et remarqué. »
Danielle Laurin – Elle Québec
« Ce premier roman est remarquable. Un récit prenant porté par une langue d’une grande beauté. »
Monique Roy – Châtelaine
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