Manuel de la vie sauvage
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« Aux commandes d’une machine narrative encore une fois bien rodée, mise à jour, posant souvent, mine de rien, des questions à la fois crues et profondes, Jean-Philippe Baril Guérard est une manière de moraliste contemporain — hybride 2.0 entre Michel Houellebecq et Jean-Simon DesRochers. »
Christian Desmeules – Le Devoir
[Critique]
[Entrevue à Plus on est de fous, plus on lit (RC)]
« Jean-Philippe Baril Guérard a un rare talent : signer des romans cruels en attachant totalement son lecteur. On en redemande ! […] C’est dur, insensible, et pourtant on lit avec délectation. Tout est redoutable de précision, nous laissant partagés entre le rire et l’effroi. C’est une juste distance. »
Josée Boileau – Journal de Montréal
[Critique]
[Entrevue à La soirée est (encore) jeune (RC)]
« Un roman déstabilisant qui vaut bien des essais sociologiques sur notre temps. Je vous incite à vous procurer ce livre. »
Josée Boileau – Radio VM/Culture à la carte
[Critique]
[Entrevue dans le Métro]
« C’est cynique, cruel, implacablement observé, avec des dialogues enlevés. Et toute ressemblance avec la réalité est complètement assumée ! Du bonbon... acidulé ! »
Josée Boileau – Journal de Montréal
« Ce roman est un miroir sociologique de notre société. »
Serge Bouchard – Radio-Canada/C’est fou
[Entrevue]
« Manuel de la vie sauvage parle d’un monde, le nôtre, s’entêtant à croire que l’intelligence se situe du côté de quiconque présume de la perfidie de ceux qui les entourent, plutôt que du côté de ceux qui choisissent de réenchanter des idées anciennes comme la générosité ou la grandeur d’âme. »
Dominic Tardif – Les Libraires
« Il y a beaucoup d’humour, de cynisme. Je vous le conseille. »
Émilie Perreault – 98,5 FM/Puisqu’il faut se lever
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