Boys club (Le)
Boys club (Le)

Delvaux, Martine  
  • Éditeur : Remue-ménage (Du)
  • Collection : Hors-collection
  • EAN : 9782890916869
  • Code Dimedia : 000205549
  • Format : Livre numérique EPUB
  • Thème(s) : BEAUX-ARTS, SCIENCES HUMAINES & SOCIALES
  • Sujet(s) : Cinéma / Roman adapté / Télé, Femmes / Féminisme, Sociologie / Anthropologie
  • Prix : 14,99 $
  • Paru le 14 octobre 2019
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EAN: 9782890916869

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Échos de la presse

« Le boys club se cache partout dans les structures de notre société. C’est ce qu’affirme la professeure Martine Delvaux dans son plus récent livre. De la Ligue du LOL à l’administration Trump, l’autrice de l’essai Les filles en série poursuit sa réflexion sur les organisations genrées qui défavorisent les femmes. »
Nathalie Collard – La Presse +
[Entrevue]
 
[Entrevue dans Le Devoir]

L'auteure et professeure de littérature Martine Delvaux dénonce la structure des clubs privés masculins dans son nouvel essai, Le boys club.
[Entrevue à Plus on est de fous, plus on lit (RC)]
 
« Cet essai précieux, je le vois comme une deuxième phase de l’opération #Metoo, une invitation à la prise de conscience, à la critique, à la dénonciation de tels phénomènes et, pour le futur, à la prudence. »
Claudia Larochelle – Avenues.ca
[Critique]

« Un livre brillamment rédigé, fort bien documenté sur tous les aspects des boys clubs, dont on ressort un tantinet ou très indigné(e)s. »
Josée Blanchette – Le Devoir

« L’homme blanc hétérosexuel d’un certain âge et possédant un statut social privilégié domine le monde. Ce n’est pas une interprétation, c’est un fait, comme le rappelle Martine Delvaux. Dans son essai, la professeure, féministe et autrice explique avec éloquence comment cette frange de la population concentre le pouvoir et la richesse afin d’écrire la suite de l’histoire à sa façon. »
Samuel Larochelle - La Presse +
 
[Entrevue à C’est encore mieux l’après-midi (RC)]

« Encore au XXe siècle, une certaine élite réglait en coulisses les affaires de l’État dans des clubs privés interdits aux femmes. Le prestige de ces endroits semblait proportionnel à leur capacité d’exclure ceux qui n’avaient pas droit de cité. Pour la professeure Martine Delvaux, bien que les salons aient disparu, le modèle du boys club perdure. »
Jean-Philippe Cipriani – L’actualité
[Critique]


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