Jean-Baptiste décapité
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« Cet essai offre un éclairage bienvenu au moment où le débat sur la laïcité continue de faire rage. Cet ouvrage savant, mais non rébarbatif, analyse l’identité québécoise depuis la Conquête jusqu’au nationalisme identitaire actuel. Abondamment illustré, l’essai démontre, notamment, que la sécularisation de la société n’est pas la cause du nationalisme québécois, mais sa conséquence. »
Mario Cloutier – La Presse +
« Mme Zubrzycki s’intéresse particulièrement au " point de rupture " entre le Québec et la religion, rupture qui s’est manifestée d’une façon symbolique particulièrement forte en 1969, lorsque la statue de saint Jean-Baptiste s’est retrouvée décapitée, comme dans la Bible, après qu’un char allégorique eut été renversé durant le traditionnel défilé du 24 juin à Montréal. »
Caroline Montpetit – Le Devoir
[Entrevue]
« Geneviève Zubrzycki fait une analyse pertinente (et trop rare) du lien amour-haine qu’entretiennent les Québécois avec le catholicisme, religion dont est issue la majorité d’entre eux. »
Odile Tremblay – Le Devoir
[Critique]
« [Geneviève Zubrzycki] n’est pas la première à raconter le divorce entre les Canadiens français et l’Église, survenu pendant la Révolution tranquille. Mais elle parvient à l’éclairer d’une lumière nouvelle grâce au point de vue singulier qu’elle adopte : celui des transformations importantes que connaîtront dans les années 1960 les défilés de la Saint-Jean-Baptiste, une fête profondément enracinée dans la tradition catholique. »
Dominic Tardif – L’actualité
[Critique]
« La sociologue Geneviève Zubrzycki publie une judicieuse rétrospective du dernier demi-siècle québécois. »
Michel Lapierre – Le Devoir
[Critique]
[Critique dans le Journal de Montréal]
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