Hôtel de verre (L')
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« Avec Station Eleven, un récit campé dans un monde post-apocalyptique décimé par un virus virulent, Emily St. John Mandel a connu un succès international. Elle nous revient avec L’hôtel de verre, où elle fait montre une fois de plus de sa maîtrise éblouissante des enchevêtrements narratifs. »
Iris Gagnon-Paradis – La Presse +
[Entrevue]
« Emily St. John Mandel s’affirme de plus en plus parmi les plumes les plus distinctives et fascinantes de sa génération. Après l’immense succès de Station Eleven, couronné de nombreuses accolades, l’autrice canadienne est revenue en force avec L’hôtel de verre. »
Éric Moreault – Le Soleil
[Entrevue]
« L’écrivaine illumine l’humanité trop souvent oubliée dans les dédales d’une crise financière, exploitant avec une précise subtilité l’hypocrisie, le malaise, la culpabilité qui creusent imperceptiblement leur sillage, qui font des ravages souterrains, soucieux de n’épargner personne, même l’innocence, même la bonté. Brillant. » ****
Anne-Frédérique Hébert-Dolbec – Le Devoir
[Critique]
« C’est tellement bien construit. C’est toujours très fluide. »
Biz
« C’est très habilement, très savamment mené. C’est brillant ! »
Anne-Marie Cadieux
[Club de lecture de Plus on est de fous, plus on lit (RC)]
« Elle a connu un succès planétaire en 2017 avec Station Eleven. Elle est de retour avec L’hôtel de verre (Alto), dans lequel on retrouve avec bonheur la plume efficace et ensorcelante de cette auteure native de la Colombie-Britannique. Suivant plusieurs lignes narratives, ses détours deviennent des boulevards, et ses ruelles, des voies de navigation achalandées où l’on croise de nombreux personnages, tous impossibles à oublier. »
Julie Roy – L’actualité
[Entrevue]
« C’est mon roman préféré de l’année. Un roman qui nous tient en haleine. Il y a une compréhension de l’humain dans la plume d’Emily St.John Mandel qui est magnifique. »
Claudia Hébert – Culture club (RC)
[Critique]
« Beaucoup de mystères dans ce roman, mais surtourt cette écriture d’Emily St.John Mandel très sensible car au-delà de l’action, il y a beaucoup de réflexions. C’est vraiment une très, très bonne lecture. »
Patricia Tadros – Première heure (RC)
[Critique]
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