Homme aux chats (L')
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« Un psychopathe qui torture ses victimes et les abandonne aux côtés d’un chat éventré. Une journaliste obstinée prête à tout pour faire la une. Un enquêteur hanté par ses démons. Combinés à l’écriture incisive de l’ancienne journaliste de La Presse Michèle Ouimet, tous les ingrédients étaient réunis pour faire de L’homme aux chats un polar impitoyable et impossible à lâcher. »
Laila Maalouf – La Presse +
[Entrevue]
« Dans ce thriller psychologique, l’auteure nous entraîne sur les traces d’un psychopathe, tueur de femmes et dépeceur de chats au passé trouble. Les enquêteurs et journalistes réussiront-ils à démasquer ce narcissique au modus operandi tordu, convaincu d’être supérieur aux autres ? Malgré une fin abrupte (on aurait bien pris 50 pages de plus !), ce premier roman remplit son mandat et nous divertit amplement. »
Julie Roy - Coup de pouce
[Entrevue aux Malins (RC)]
« Un livre rythmé. Une écriture très journalistique mais aussi très cinématographique, très visuelle. On est dans la violence faite aux femmes, dans l’enfance malmenée. Ça se lit tout seul ! La fin est très, très inattendue. Beaucoup d’originalité dans la fin de ce roman. »
Anne-Josée Cameron – C’est encore mieux l’après-midi (RC)
[Critique]
« Ça se lit très bien. Michèle Ouimet connait bien les codes du polar. »
Patricia Tadros – Première heure (RC)
[Entrevue]
« L’ex-journaliste Michèle Ouimet prouve une fois de plus qu’elle sait raconter des histoires au style efficace. Les personnages comme les univers policier et médiatique de ce thriller y sont campés avec une redoutable crédibilité. »
Johanne Lauzon – Châtelaine
« Je suis tombée dans ce roman et j’étais incapable d’en sortir. C’est un véritable page turner. […] C’est très, très bien écrit. C’est juste. On a l’impression d’une vraie enquête. […] C’est un vrai plaisir. Tous ceux qui aiment les polars, les enquêtes, jetez-vous là-dedans. »
Marie Villeneuve – Phare Ouest (RC)
[Entrevue]
« C’est le troisième roman de Michèle Ouimet, mais sa première incursion dans le monde du polar. Le moins qu’on puisse dire, c’est que son univers est terrifiant. Sur la trace d’un psychopathe, on croise les cadavres des femmes qu’il a assassinées, un enquêteur hyper sensible et des journalistes pour le moins colorés. Car on a aussi droit aux coulisses d’une salle de rédaction que l’auteure connaît comme le fond de sa poche. À lire les lumières allumées. »
Nathalie Collard – La Presse +
« Très réussi. »
Winston McQuade – Le culturel 2.0
[Entrevue]
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