Blackwater, t. 01
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« Écrite dans les années 1980, la série Blackwater n’avait encore jamais été traduite en français. Alors maintenant que c’est chose faite, autant en profiter ! Un beau plaisir de lecture qui comporte six tomes. »
Karine Vilder – Journal de Montréal
[Critique]
« Cette saga américaine, qui a connu le succès à sa publication en 1983, n’avait encore jamais été traduite en français. Dans une ambiance gothique qui rappelle l’horreur à la Stephen King, on découvre la richissime famille Caskey. Quand une crue inonde Perdido, ville fictive de l’Alabama, les habitants font la rencontre d’Elinor, une femme mystérieuse qui cache un terrible secret. Le style clair et précis de McDowell n’a pas pris une ride. »
Julie Roy – L’actualité
« Si vous êtes friand du cinéma de Tim Burton (Beetlejuice) ou des romans de Stephen King (La peau sur les os) et que vous n’avez pas encore lu Michael McDowell (1950-1999), Blackwater, trépidante saga familiale en six tomes, est certainement la meilleure porte d’entrée dans son univers gothique teinté de fantastique et d’horreur. »
Manon Dumais – Le Devoir
« Offert dans un écrin remarquable, chacun des tomes, de type ʺ cabinet de curiosités ʺ avec des sections embossées, charme les sens à la manière d’une fleur vénéneuse. Cette présentation en teintes rouille et argent accentue le contraste avec l’horreur qui déferle dans les pages tels les courants rouges de la rivière Perdido. Flots par lesquels j’ai été illico emportée, affamée de lire les tomes les uns après les autres comme ce qui patiente, insatiable, au fond des tourbillons. »
Ariane Gélinas – Les Libraires
[Critique]
« Ça se lit vraiment, vraiment bien. Une série absolument étonnante. […] Il y a du réalisme magique. C’est joliment écrit. Ça vaut vraiment le coût ! »
René Homier-Roy – Culture club (RC)
[Critique]
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