Seul instant (Le)
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« Le Seul instant, sous le mode du « papiers-collés », est un dialogue constant entre l'écrivain et la nature, la littérature, la peinture, dans une sorte de désir encyclopédique. »
Chantal Guy – La Presse
[Entrevue]
« C’est à lire. C’est magnifique, bien fait et bien écrit. »
Christine Michaud
TVA/Salut Bonjour Week-end
« Un livre qu’on savoure, comme l’instant qui passe. »
Caroline Ménard – Échos Vedettes
« Un livre intéressant. C’est un artiste qui a besoin de l’ermitage pour vivre. C’est une dynamique de vie. On entre littéralement dans son âme. C’est un livre plein d’élégance de vie. »
Jean Fugère
Radio-Canada/Pourquoi pas dimanche
« Ici, on est dans le contemplatif. L’auteur nous livre ses impressions, ses pensées toujours en lien avec ses lectures. Ce livre est un beau tableau impressionniste à lire par petites touches. »
Aude Jimenez
Radio-Canada International/Tam Tam Canada
« C’est une bibliothèque personnelle très éclairée et variée. C’est une occasion de découvertes extraordinaires. »
Michel Désautels
Radio-Canada/Désautels
[Entrevue]
« C’est une succession d’écrits. C’est très personnel. »
Claude Bernatchez
Radio-Canada/Première heure
[Entrevue]
« Le Seul instant est un carnet constitué de courts textes écrits l’espace d’un été, une lecture toute estivale par le fait même, en 120 pages qui font ressortir la force de tous ces instants. »
Linda Corbo – Le Nouvelliste
« Chaque été, à Sainte-Cécile-de-Milton, Robert Lalonde plonge dans son décor. Il s’imprègne de la nature. Et, de façon lumineuse et subtile, il nous en dévoile les beautés. Avec Le Seul instant, rivés à l’ombre des érables, nous épions Robert Lalonde, cette bête créative. Entre les lignes de son carnet ou en personne, l’homme de théâtre fait preuve d’une érudition hors-norme. »
Dominique Lemieux – Le Libraire
[Entrevue]
« Journal de lecture, d'écriture et de création, Le Seul Instant convoque une fratrie d'auteurs, entre observations de la nature et méandres de la pensée. »
Catherine Lalonde – Le Devoir
[Entrevue]
« Robert Lalonde nous invite à ouvrir la porte pour voir ce qu’il y a dehors pour mieux percevoir la vie, pour mieux la saisir et pour aller à la rencontre de soi. »
Jean Fugère
Radio-Canada/Pourquoi pas dimanche
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