Classe de madame Valérie (La)
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« [François Blais] démontre une fois de plus sa maîtrise incontestée de tous les niveaux de langue, dont la juxtaposition crée une forme d’ironie qui n’appartient qu’à lui. Ses réflexions sur les règles du jeu de l’élastique, sur les emballages des produits pharmaceutiques ou sur l’art de classer les friandises d’Halloween sont des pièces d’anthologie aussi hilarantes qu’inouïes. »
Martine Desjardins – L’actualité
[Entrevue dans La Presse]
« Le projet était ambitieux, l’opération est réussie. [L’auteur] nous interpelle directement, nous prend à témoin. Ses intrusions pleines d’humour et ses piques souvent assassines viennent nous distraire, et parfois nous font éclater de rire. »
Danielle Laurin – Le Devoir
[Critique]
« Ce sont trois journées dans la vie des 25 élèves (et de leur enseignante) d’une classe de cinquième année du primaire d’une école de Grand-Mère, en Mauricie, visitées par le romancier à intervalle de plus ou moins dix ans. Une sorte de roman encyclopédique sur l’enfance du début des années 1990... »
Christian Desmeules – Le Devoir
[Entrevue]
« Ce roman agréablement construit nous fait voyager dans le temps au gré des secrets, des histoires d’amour et des ambitions de ses nombreux personnages attachants… C’est avec humour et humanité que François Blais nous dépeint leur parcours au fil des années 1990, 1997 et 2011 avec, en toile de fond, les grands enjeux de notre société. »
Catherine Gauthier – Nouvelles CSQ
« Dans ce tour de force littéraire qui ne se prend pas au sérieux, François Blais nous fait vivre le quotidien d’un groupe d’élèves de cinquième année, à Grand-Mère, à l’automne 1990. On retrouve aussi dans le désordre les personnages en 1997 et en 2011, dans ce roman choral brillant et truffé de références à la culture populaire. »
Josée Lapointe – La Presse
« La richesse et le pouvoir évocateur de La classe de madame Valérie viennent pour beaucoup de la capacité de l'auteur à retrouver et à traduire en mots les idées plus ou moins conscientes qui peuvent traverser l'esprit d'un jeune de 10 ou 11 ans. »
Richard Boisvert – Le Soleil
[Critique]
« C’est d’une extrême justesse de ton. C’est par moment ironique, très drôle, et sous-jacent à tout ça, il y a de la tristesse, du drame. […] C’est vraiment très plaisant à lire, très frais. Un très joli roman. »
René Homier-Roy – Radio-Canada/La bibliothèque de René
[Critique]
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