Homme blanc (L')
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« Un personnage qui nous fait rêver, qui nous fait pleurer aussi. Un roman qui m’a beaucoup touchée. Un livre sur la liberté. Je vous suggère de le lire, c’est vraiment magnifique. » Lorraine PintalRadio-Canada/Vous m’en lirez tant
« C’est une surprise, une vraie. Sans doute la plus belle découverte littéraire de l’automne. L’écriture est maîtrisée, ciselée. On est en face d’une écrivaine, en présence d’une voix, pleine et entière. Et on entre dans une histoire d’imagination qui nous transporte ailleurs. » Danielle Laurin – Le Devoir [Critique]
« Comment expliquer que la magie fonctionne ou pas ? On pourrait invoquer la grâce du moment, la disponibilité du lecteur, sa sensibilité. On préfère voir ici une question de talent, de réel talent d'écrivain. L'Homme blanc : étonnant premier roman. » **** Marie-Claude Girard – La Presse [Critique] [Entrevue dans Le Devoir]
« Il ne faudrait pas passer à côté de cette voix forte qui s'élève, d'une plume assurée qui déploie une perspective singulière avec une remarquable justesse de ton. L'Homme blanc est une des belles surprises de l'automne. » **** Marie-Hélène Poitras – Voir [Entrevue] « J’ai adoré. C’est vraiment très bon. C’est absolument fascinant. On y croit. C’est tellement bien raconté, avec tellement d’humanité. » Thomas HellmanRadio-Canada/Christiane Charette
« Un roman léché, tellement sobre et tellement fort en même temps. Impressionnant. » Danielle Laurin – Le Devoir
« Il est absolument réjouissant de découvrir un roman québécois qui raconte avec un tel sentiment de vérité une histoire hors-norme se passant à l’autre bout du monde. Et de savoir que c’est un premier roman, que l’auteure a 30 ans et n’a jamais mis les pieds en Russie. Voilà qui force l’admiration. »
Marie-Claude Girard – La Presse
« Perrine Leblanc a un don, une particularité qui lui est propre. Un joli roman humain. C’est une histoire universelle, celle de la quête du bonheur. Quelle grande richesse, quel grand regard qu’elle porte sur la vie, quelle profondeur ! »
Patricia Powers
Radio-Canada/Chez nous le matin
[Critique]
« Un premier livre tout à fait exceptionnel. Bien qu’elle n’ait jamais visité la Russie, la jeune écrivaine signe un véritable roman russe qui se déroule entre 1937 et 1995, des camps de travail en Sibérie à l’implosion de l’URSS. »
Monique Roy – Châtelaine
« C’est un récit sec, dru, sans fioritures, qui parle des hommes qui sont élevés à la dure, dans le chagrin, dans le froid, des hommes qui sont élevés dans l’absence de sentiments avec pour seul médicament l’alcool. C’est un roman extrêmement maîtrisé. Un roman trop court… moi j’en aurais pris 100 pages de plus ! »
Isabelle Richer
Radio-Canada/Le Téléjournal
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