À chacun ses Juifs
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Les éditoriaux d'Henri Bourassa, explique Pierre Anctil, ne s'intéressaient en général pas aux Juifs, et la plupart du temps sans hostilité, mais ceux de Georges Pelletier, au contraire, n'hésitaient pas à désigner un Juif comme un «circoncis». Les propos du Devoir étaient tout de même tempérés, la plupart du temps.
[Entrevue à Dessine-moi un dimanche (RC)]
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