Contre Dieu
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« Un peu plus de cent pages. Un personnage qui n’a pas de nom. Presque pas de dialogue. Pas beaucoup de points. Mais un fameux coup de poing. Contre Dieu, le nouveau roman de Patrick Senécal, en est un qui fesse. Garanti, il vous met K.O. en moins de deux heures. » Marie-France BornaisJournal de Québec [Entrevue] « Il y a un narrateur qui est au-dessus de toute l’histoire et qui parle au personnage dans sa tête. Ça donne une sorte de souffle au livre, une sorte de fébrilité. C’est vraiment intéressant. C’est très intense. » Annie-Soleil ProteauRadio-Canada/C’est bien meilleur le matin [Entrevue] « Un court roman mais assez dense et intense par les émotions, par l’action. » Paul Arcand98,5/Puisqu’il faut se lever [Entrevue] « Un roman que j’ai lu à bout de souffle. Un livre que je vous recommande. Une lecture enlevante. C’est très particulier. » Thérèse Parisien98,5/Montréal Maintenant
« Contre Dieu compte une petite centaine de pages qui ne laissent aucun répit. C’est ficelé, centré, concentré. Il y a une seule ligne et on la suit. On avance comme dans un tunnel, on s’enfonce de plus en plus, sans apercevoir de lumière au bout. On referme Contre Dieu estomaqué. » Danielle Laurin – Le Devoir « Une novella, comme une longue phrase soufflée sur cent pages pour dire la chute d'un homme qui, dans l'insupportable douleur de rester vivant quand tous ceux qu'il aime sont fauchés d'un trait, se révolte contre la vie même, jusqu'à devenir un dieu mauvais. » Catherine Lalonde- Le Devoir [Entrevue] « J’ai été complètement happée du début à la fin. À lire ! » Lorraine PintalRadio-Canada/Vous m’en lirez tant [Entrevue à la 3e minute]
« Un texte qui se lit comme une plongée en apnée. Une novella de 128 pages, mais tout en concentré, rythmée par les pensées intimes et noires de même que les gestes durs et sans concession de son personnage principal. Une violence troublante, douloureuse, implacable. » Valérie Lessard – Le Droit
« C’est du Senécal à son meilleur. C’est tout court, terriblement efficace. Le récit nous interpelle directement. Et nous happe, forcément. Le rythme est haletant. Quel souffle ! » Danielle Laurin – Le Devoir
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