J'ai confiance
J'ai confiance
Réflexions (sans cynisme) d'un jeune politicien
Jolin-Barrette, Simon  
  • Éditeur : Québec Amérique
  • Collection : Essai
  • EAN : 9782764435663
  • Code Dimedia : 000196252
  • Format : Broché
  • Thème(s) : SCIENCES HUMAINES & SOCIALES
  • Sujet(s) : Politique - Québec / Canada
  • Pages : 128
  • Prix : 19,95 $
  • Paru le 25 janvier 2018
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EAN: 9782764435663

J’ai 30 ans. Et le Québec qu’on me propose depuis 15 ans ne me ressemble pas. Il ne ressemble pas à l’avenir que j’entrevois et que j’espère pour ma fille, ni à l’avenir auquel mes amis aspirent.
Il doit être amélioré.
Pour qu’il corresponde un peu plus à ce à quoi nous rêvons pour nous-mêmes et pour nos familles, il faut plus que des mots. Il faut de l’action. Et s’engager pour vrai. C’est un devoir qui nous incombe. Nous ne pouvons pas rester sur les lignes de côté.

Dans ses Lettres à un jeune politicien, l’ancien premier ministre du Québec, Lucien Bouchard, invitait les jeunes à prendre la parole. Le député Simon Jolin-Barrette y fait écho en témoignant de son expérience d’élu à l’Assemblée nationale du Québec. Dans un style accessible et rafraîchissant, il nous livre sa propre vision de la politique.
Sur l’importance de s’engager, de faire une place aux jeunes, de moderniser nos institutions, mais aussi sur la réalité des familles d’aujourd’hui et les problèmes de la vie quotidienne, il apporte un point de vue trop souvent méconnu : celui de la jeunesse ambitieuse et responsable. Avec conviction, sans cynisme.

AUTEUR(S)

Député de la circonscription de Borduas depuis 2014, Simon Jolin-Barrette porte les couleurs de la Coalition avenir Québec. Avocat de profession, diplômé en administration publique, il a été nommé par ses collègues de l’Assemblée nationale « Parlementaire de l’année » en 2016.
L’auteur a choisi de verser les revenus de la vente du livre à la Maison de répit l’Intermède. Cet organisme vient en aide aux familles qui vivent avec une personne ayant une déficience intellectuelle ou un trouble du spectre de l’autisme.

Extrait

Les gens ont parfois le sentiment que nous nous « chicanons » à longueur de journée. Je suis conscient qu’il y a trop de mauvaise foi partisane au Salon bleu : c’est un fléau à combattre. En même temps, il faut relativiser.
La période des questions ne représente que 45 minutes dans une journée de travaux parlementaires. Lors d’un mardi bien rempli, on peut consacrer jusqu’à sept heures à des projets de loi en commission, où le travail est beaucoup plus constructif. La politique vient toujours avec un peu de théâtre et de mise en scène. Dans les faits, une fois les caméras éteintes, il y a plus de compromis et de collaboration qu’on pense entre les élus. C’est en tout cas en ce sens que j’essaie de travailler.
En commission, les parlementaires tentent d’arriver à la meilleure législation possible, en déposant des amendements et en faisant réfléchir le ou la ministre qui dépose le projet de loi. Mais souvent, les élus négocient pour les différents amendements afin d’avoir la loi la plus claire et pertinente possible.




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