Klonk, t. 01 [nouvelle édition]
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Une amitié se tisse entre Fred et Klonk, un collègue de classe au pouvoir bien particulier…
Si je ne m’étais pas cassé une jambe, je n’aurais peut-être jamais rencontré Klonk. Je peux maintenant affirmer que cet accident a été une chance extraordinaire : grâce à mon nouvel ami, j’ai découvert une activité encore plus palpitante que le hockey!
Revoici la série Klonk dans une toute nouvelle édition illustrée en couleur!
Prix Alvine-Bélisle 1994
Auteur de plus de 100 livres récompensés de nombreuses distinctions, François Gravel possède le rare talent de s’adresser avec le même plaisir contagieux à tous les publics, jeunes et moins jeunes. Faisant preuve d’un humour inimitable, il sait aussi être tendre ou grave selon les œuvres. Chez Québec Amérique, il signe plusieurs oeuvres marquantes, parmi lesquelles Ostende, La Cagoule et la série Klonk.
Pierre Pratt a écrit et illustré une dizaine de livres et illustré plus de cinquante textes de différents auteurs. Publié dans de nombreux pays et il s’est mérité des prix prestigieux, notamment trois prix du Gouverneur général, le prix TD à deux reprises, la Pomme d’Or à Bratislava, le Boston Globe - Horn Book, le Prix du Salon de Montreuil, le Prix Unicef à Bologne et bien d’autres, sans compter qu’il fut deux fois finaliste au Prix Andersen.
Quand j’allais à l’école, d’habitude, je m’amusais toujours avec mes amis en cours de route. Nous faisions des courses, des batailles de balles de neige, des choses comme ça. Mais depuis que j’avais un plâtre, impossible de courir. Je pouvais lancer des balles de neige, mais j’avais du mal à me pencher pour esquiver, si bien que, pour une balle que je réussissais à lancer, j’en recevais dix. J’étais une belle cible et mes amis en profitaient.
Au retour de l’école, le soir, c’était pire encore. Mes amis étaient tellement pressés de jouer au hockey qu’ils ne m’attendaient
pas. Alors je rentrais à la maison, je m’ennuyais et c’est tout.
La nuit, je rêvais que mon plâtre avait disparu. Je jouais des millions de parties de hockey et je patinais tellement vite que la glace fondait sous mes patins. Mais quand je me réveillais, le lendemain matin, j’avais encore mon plâtre. Il fallait encore que j’aille à l’école tout seul, que je rentre tout seul à la maison, et que je m’ennuie toute la soirée dans une maison pleine d’adolescents. Si je n’avais pas rencontré Klonk, je pense que je serais mort d’ennui.
NB : Les prix indiqués sont sujets à changements sans préavis.