Cours de l'Histoire (Le)
Cours de l'Histoire (Le)
Mémoires
Coulon, Jocelyn  
  • Éditeur : Somme toute / Le Devoir
  • Collection : Hors-collection
  • EAN : 9782925291435
  • Code Dimedia : 000241663
  • Format : Broché
  • Thème(s) : LITTÉRATURE - FICTION & ESSAI, SCIENCES HUMAINES & SOCIALES
  • Sujet(s) : Biographie / Récit biogra., Communication / Médias, Histoire & géographie, Politique, Politique - Québec / Canada
  • Pages : 256
  • Prix : 32,95 $
  • En librairie le 22 mai 2024
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EAN: 9782925291435

Les Mémoires d’un observateur politique ayant vécu de près de grands évènements mondiaux

Le cours de l’Histoire
est davantage qu’une autobiographie classique : il s’agit plutôt de « Mémoires ». Observateur et acteur de la scène internationale, Jocelyn Coulon relate, dans ses Mémoires, l’histoire de sa passion pour les relations internationales, offre des analyses de certains grands événements et phénomènes – les répercussions du coup d’État au Chili, la montée de la Chine, la fin de la Guerre froide, le rôle de l’ONU, l’influence des médias, la question du Québec, la course aux armements, le terrorisme –, décrit ses enquêtes à travers le monde et son engagement politique. La connaissance, l’aventure et l’action ont toujours guidé ses pas. Il n’hésite pas, aussi, à faire l’autocritique de certains de ses choix.

AUTEUR(S)

Journaliste de profession, Jocelyn Coulon a longtemps collaboré au journal Le Devoir et a signé des chroniques dans les journaux La Presse et L’Actualité. Il a enseigné le journalisme à l'UQAM et à l’UdeM et a dirigé notamment le Réseau francophone de recherche sur les opérations de paix (ROP) de 2005 à 2016. Il a été candidat libéral aux élections fédérales de 2007, ainsi que conseiller et rédacteur de discours auprès du ministre des Affaires étrangères du Canada. Il est l’auteur de nombreux ouvrages.

Extrait

« On peut se demander si le modèle occidental est en voie d’épuisement. La montée du populisme et des partis extrémistes laisse planer un doute sur l’avenir de nos sociétés démocratiques. Je ne crains pas la dictature, mais une limitation des libertés consécutives à l’installation de régimes dont le programme serait de préconiser des solutions musclées à des problèmes complexes. Et puis, il y a cette fracture au sein même des sociétés occidentales entre une partie de la population, de plus en plus congrue, attachée aux institutions nationales et internationales, et l’autre méfiante envers le cadre établi et tentée par le repli sur soi. Il y a ici un risque de chaos plus dangereux encore que les menaces extérieures. »




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