Juillet, le Nord [nouvelle édition]

Juillet, le Nord [nouvelle édition]

Frenette-Vallières, Andréane  
  • Éditeur : Noroît (Du)
  • Collection : Initiale
  • EAN : 9782897664985
  • Code Dimedia : 000250727
  • Format : Broché
  • Thème(s) : LITTÉRATURE - FICTION & ESSAI
  • Sujet(s) : Littérature québécoise, Poésie
  • Pages : 80
  • Prix : 20,95 $
  • En librairie le 1 avril 2025
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EAN: 9782897664985

Premier recueil de poésie de l’écrivaine Andréane Frenette-Vallières, paru originalement en 2019 et récompensé par le Prix de poésie Félix-Leclerc, Juillet, le Nord est l’histoire d’une rencontre entre une femme et la Minganie. Dans cette quête existentielle et initiatique, les poèmes deviennent les témoins d’un émerveillement devant la nature fulgurante : mer froide et côtes arides, forêt boréale et vallées de toundra. Un personnage singulier permettra à la narratrice de se lier plus intimement au langage des animaux et des étoiles, mais l’emmènera aussi à s’inscrire, sans retour possible, dans un territoire qui l’avalera.

« Ce recueil qui est imbibé du territoire, de la nature. On la respire, on la sent, on la goûte, on sent le vent [...] Il y a une grande portion de paix qui habite Juillet, le Nord et aussi de silence. »
– Paule Therrien, Radio-Canada - Bonjour la Côte
 
« La vastitude du territoire gonfle comme une voile les mots d’Andréane Frenette-Vallières, qui rapporte d’un séjour sur la Côte-Nord Juillet, le Nord, un premier livre mettant en question la possibilité même d’un enracinement. »
– Dominic Tardif, Le Devoir

AUTEUR(S)

Andréane Frenette-Vallières est une poète, essayiste et chercheuse québécoise. Ses livres, Tu choisiras les montagnes, Sestrales et Juillet, le Nord, forment un triptyque d’écriture se déployant sur la Côte-Nord et marqué par une pensée écoféministe. Son essai poétique, Tu choisiras les montagnes, a remporté le Grand Prix du livre de Montréal et le Prix Spirale Eva-le-Grand en 2023. Elle a également obtenu le Prix Artiste de l’année 2024 en Montérégie, du Conseil des Arts et des Lettres du Québec.

Extrait

La bruine la nuit passée
c’était moi.

Je n’arrivais pas à m’étendre
j’ai regardé dormir le village

j’ai marché jusqu’au jour et le jour
recommençait.




NB : Les prix indiqués sont sujets à changements sans préavis.