Mort de l'argent (La)
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Au moment où nous arrivons presque au terme de la mondialisation et commençons à mesurer l'ampleur du désastre, cet essai propose de jeter un coup d'œil au-delà de l’argent pour tenter d’imaginer quel type de société planétaire nous pourrions inventer.
Plutôt que le regard fragmenté des spécialistes de la finance, c'est un regard global que Denis Blondin pose sur l'argent, sur sa magie, aussi bien que sur sa sorcellerie. La Mort de l’argent, dont le sous-titre est Essai d’anthropologie naïve, ne propose pas une avalanche de chiffres ou de faits, mais une collection d’idées et de points de vue sur la société, sur l’être humain, sur la forme sociale dans laquelle se sont incarnés l’Occident et l'univers mondialisé qui s’est trouvé placé sous sa gouverne.
Une fois désacralisé, l’argent retrouve sa vraie place dans notre histoire, soit celle d’une invention humaine. Une invention qui a connu un incroyable succès, mais qui arrive peut-être à son terme, parce qu’elle crée plus de problèmes qu’elle n’en résout.
Anthropologue, professeur et conférencier, Denis Blondin a mené des recherches sur l'Amérique latine et sur le Québec, et s'intéresse principalement à la culture occidentale. Il a publié de nombreux articles traitant de la diversité culturelle et collaboré à deux ouvrages collectifs : La Différence, sous la direction de Bernard Arcand, et Les Peuples du monde, sous la direction d’André Tessier. Denis Blondin est également l’auteur de deux essais : L’Apprentissage du racisme dans les manuels scolaires et Les Deux Espèces humaines.
NB : Les prix indiqués sont sujets à changements sans préavis.
