Moi, ce que j'aime, c'est les monstres, v. 02
Moi, ce que j'aime, c'est les monstres, v. 02
Ferris, Emil  
Khalifa, Jean-Charles (Traduit par) 
  • Éditeur : Alto
  • Collection : Hors-collection
  • EAN : 9782896946679
  • Code Dimedia : 000246223
  • Format : Relié
  • Thème(s) : BANDE DESSINÉE, DIVERS
  • Sujet(s) : Bande dessinée, BD - Roman graphique, Monstres
  • Pages : 422
  • Prix : 44,95 $
  • En librairie le 26 novembre 2024
  • Statut : À paraître
  • Code de recherche: AIMMON
  • Groupe: Bandes dessinées
  • Date de l'office: 20 novembre 2024
  • Langue d'origine: anglais
EAN: 9782896946679

Situé dans le contexte politique tumultueux du Chicago de la fin des années 1960, Moi, ce que j’aime, c’est les monstres Livre Deuxième est la suite très attendue du roman graphique le plus acclamé de la dernière décennie. Il est présenté comme le journal graphique fictif de Karen Reyes, dix ans, qui tente de résoudre le meurtre de sa bien-aimée et énigmatique voisine d’étage, Anka Silverberg, une survivante de l’holocauste, tandis que les histoires interconnectées de ceux qui l’entourent se déroulent.

Dans le deuxième tome, les sombres mystères passés et présents continuent d’abonder au cours de l’été tumultueux et violent de Chicago en 1968. La jeune Karen assiste au Festival de la vie organisé par Yippie à Grant Park et se retrouve emportée par la police. En privé, elle continue d’enquêter sur la mort récente d’Anka et découvre une dernière cassette qui met en lumière les activités héroïques d’Anka dans l’Allemagne nazie. Elle est aux prises avec sa propre identité sexuelle, la mort de sa mère et les secrets qu’elle soupçonne son frère Deez de cacher. Les personnages exaltants de Ferris font l’expérience de révélations et d’épiphanies qui résolvent et approfondissent les mystères auxquels ils ont été auparavant confrontés. L’histoire est racontée dans le style inimitable de Ferris qui combine de manière époustouflante et transparente une narration panneau à panneau et des montages de dessins animés, de l’iconographie d’horreur des films de série B et des Pulp Monster Magazines.

Moi, ce que j’aime, c’est les monstres
Livre premier :
18 000 exemplaires vendus
PRIX DES LIBRAIRES DU QUÉBEC Catégorie BD hors Québec
FAUVE D’OR DU MEILLEUR ALBUM — Festival international de la bande dessinée
GRAND PRIX DE LA CRITIQUE ACBD
PRIX LIBR’À NOUS Catégorie BD
PRIX REUBEN Meilleur roman graphique
PERSONNALITÉ DE BANDE DESSINÉE DE L’ANNÉE Comics Beat Trois
PRIX EISNER : Meilleur album, Meilleure auteure et Meilleure colorisation
Finaliste — PRIX BÉDÉLYS Catégorie Monde
Finaliste — PRIX TRADUCTION BÉDÉIS CAUSA
Finaliste — PRIX HUGO
Finaliste — PRIX BRAM STOKER

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« Emil Ferris est une des plus grandes artistes de bande dessinée de notre temps. »
– Art Spiegelman

« Meilleure bédé de l’année, vous dites? Plutôt de la décennie! […] Si l’histoire est addictive, le dessin majestueux de Mme Ferris — entre Otto Dix et Daniel Clowes —, entièrement exécuté au stylo-bille, hisse le livre au rang d’œuvre d’art. »
– Le Devoir

« Exceptionnel. »
– Guy A. Lepage

« Arrivée de nulle part, au terme d’une série d’épreuves qui auraient découragé n’importe qui, Emil Ferris a bousculé les conventions du roman graphique avec Moi, ce que j’aime, c’est les monstres, œuvre magnifique et bouleversante, qui est un éloge de l’art, de la différence et de la résilience. »
– La Presse

« Emil Ferris non seulement développe une signature graphique flamboyante, mais propose également une vision de l’histoire de l’art qui met de l’avant la multiplicité des perspectives. […] Ambitieuse et réussie, l’œuvre d’Emil Ferris développe une réflexion intelligente sur l’histoire de l’art, mais, surtout, valide la diversité des expériences personnelles vis-à-vis de celle-là. Un défi brillamment relevé. »
– Lettres québécoises

« Un roman graphique unique en son genre qui dévoile un talent extraordinaire. »
– Elle Culture




NB : Les prix indiqués sont sujets à changements sans préavis.