Exil exit
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« Tu marches. Tu aimerais t’arrêter. Tu marches, attendant tu ne sais quoi, attendant qu’un désir d’enfance promène le ciel de sa lampe sous les branchages. Il fait noir en toi. Tu ne vois rien au-delà. Tu marches, pourtant. Nécessaires le pas engendrant l’abandon. Nécessaire l’abandon mûrissant le pas. »
Un certain point du chemin atteint, un homme découvre qu’il est temps de rendre ce que la vie lui a donné. Il ouvre les mains. Elles sont vides. Un autre chemin commence dans la solitude.
« Solitude : vital pour retrouver son innocentre. »
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