Carnets de Douglas (Les)
| Aussi disponible en version numérique: |
Gagnant — Prix France-Québec
Gagnant — Prix Senghor du premier roman
Gagnant — Prix Club des Irrésistibles des bibliothèques publiques de Montréal
Finaliste — Prix des libraires du Québec
Finaliste — Prix de création littéraire de la Ville de Québec
Finaliste — Prix des abonnés du réseau des bibliothèques de la Ville de Québec
Le même jour, deux adolescents parviennent à fuir un destin qui les aurait emmurés. Ils se trouvent, deux ans plus tard, à Rivière-aux-Oies, un village beaucoup trop discret pour figurer sur une carte. Au cœur de la nature généreuse et sauvage, ils s’aiment, à l’abri des rugissements du vingtième siècle. Jusqu’à ce que la vie, comme d’habitude, fasse des siennes.
Fondu au blanc.
Les années passent, Rivière-aux-Oies se métamorphose avec, en arrière-plan, une révolution à peine tranquille et le saccage des bétonnières. Une famille singulière s’improvise, malgré les ragots et en dépit des blessures. Dans la maison du docteur, les liens se tissent avec tendresse. Un médecin au cœur rafistolé, une institutrice au nom imprononçable et une enfant surgie des bois vont peut-être permettre à Douglas d’entendre enfin la réponse du vent.
Une passion comme au cinéma, qui se déploie à l’ombre d’un arbre, d’une clarinette et de la beauté fragile du monde.
« Une histoire d’amour fou qui diffuse une musique enchantée. » - Monique Roy, Châtelaine
« Un touchant conte où sensibilité et poésie se rencontrent à chaque page. » - Manon Guilbert, Journal de Montréal
« Christine Eddie livre avec Les carnets de Douglas un premier roman empreint de tendresse et de poésie dont on a peine à s’extraire tant la richesse de cet univers sait nous habiter. » - Jade Bérubé, La Presse
« Écrivaine à la prose sage et poétique, à l’imaginaire subtil et délicat, Christine Eddie émerveille par son regard bienveillant sur les êtres et sur les choses. […] Les carnets de Douglas coulent comme de l’eau, avec pour seule mémoire l’amour. […] Avec Les carnets de Douglas, Christine Eddie signe un premier roman merveilleusement léger malgré sa gravité. Il s’incruste en nous comme une incessante musique. » - Suzanne Giguère, Le Devoir
« Un roman plein de tendresse. Triste? Oui, parfois, mais réconfortant. À lire toutes affaires cessantes ! » - Didier Fessou, Le Soleil
NB : Les prix indiqués sont sujets à changements sans préavis.