Attraction terrestre
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L’un est embaumeur, fils de médecin qui, à défaut de pouvoir soigner les vivants, s’est engagé à soigner les morts. L’autre est un pianiste malade qui partage sa solitude avec les spectres d’une gloire passée. Le premier habite un immeuble où logent plein de choses tranquilles, des centenaires qui ont la manie de l’autobiographie. Le second se cloître dans une maison austère où même le soleil refuse d’entrer. L’un hésite entre deux femmes. L’autre, entre emphysème, polyarthrite rhumatoïde et parkinson. L’un rêve, l’autre tremble. La rencontre est inévitable.
Le jour où notre croque-mort philosophe égare le mystérieux manuscrit d’un locataire, le pianiste le récupère de justesse. Commence alors un chassé-croisé qui les mènera du port au café, du café au parc, du parc à la maison sans soleil puis au piano où l’amour, la vie, la mort et tout le reste régleront leurs comptes.
Pétri d’humour fin, d’absurde, d’une tendresse généreuse pour les vivants et les disparus, Attraction terrestre célèbre à sa façon le bonheur d’exister sur terre.
« On sort de ce livre avec beaucoup de joie au cœur. » - Jean Fugère, Pourquoi pas dimanche ?
« Un très beau roman. Parfois drôle, souvent absurde. » - Didier Fessou, Le Soleil
« Roman grave et désopilant, méditation sur la vie, l’amour et la mort, sur la joie d’exister en ce bas monde et d’y percevoir les traces de l’autre qui l’habite, Attraction terrestre offre aussi le plaisir non négligeable de la prose délectable d’Hélène Vachon. » - Stanley Péan, Le libraire
« Très beau livre d’Hélène Vachon. [...] Elle réussit le tour de force de marier harmonieusement humour noir et humanisme dans cette histoire toute en finesse et en douceur. [...] Réflexion sur la maladie, la mort et la vieillesse – l’immeuble où vit Hermann est peuplé des personnes très âgées, plus ou moins sympathiques et toutes plus excentriques les unes que les autres -, Attraction terrestre n’est cependant jamais lourd. » - Josée Lapointe, La Presse
« Une histoire extrêmement loufoque et originale. » - Catherine Perrin, Vous m’en lirez tant
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