Vie est libre (La)
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C’est avec élan, spontanéité, générosité que Jean Dubuffet s’adresse à Edith Boissonnas. Rencontrée en 1945 grâce à Jean Paulhan, elle s’intéresse immédiatement à la peinture de celui qui est en train de formuler de plus en plus clairement son intérêt pour la peinture libre, sans culture, sauvage, proche de l’enfance et de la folie. Le terme Art Brut est formulé dans les lettres pour ainsi dire en direct des recherches que mène Jean Dubuffet.
De son côté, Edith Boissonnas écrit, est publiée chez Grasset, aspire à une vie moins contrainte qu’en Suisse, qu’elle trouve à Paris. On la voit réagir et réfléchir à l’œuvre de Dubuffet, réflexions qui comptent pour le peintre. Ce livre permet d’assister à leurs recherches, et à l’effervescence de l'après-guerre.
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