
Manifeste des chômeurs heureux
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Manifeste poétique et ovni politique, le « rapport d’inactivité n°1 » rédigé par un trio de chômeurs berlinois et débattu pour la première fois en public en août 1996, fut qualifié de « Manifeste des chômeurs heureux » Il eut un retentissement considérable au cours des années 1997-2002.
Refusant de « mourir au chagrin » pour enrichir une batterie d’exploiteurs, les Chômeurs heureux choisirent le faire contre le travail ; la vie contre la survie ; l’humain contre le capital. Quelque quinze ans après, alors que les failles dans le capital se multiplient en un vaste processus de négationcréation, il est temps de réanimer leur geste subversive : « Nous ne perdrons pas notre vie à la gagner. Nous sommes la crise et nous en sommes fiers. »
NB : Les prix indiqués sont sujets à changements sans préavis.