Plomb des grives
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Quelques poèmes compassés et sauvages, où l’humeur folâtre le dispute à la mélancolie.
Poèmes en mode mineur, textes mutins, frondeurs ou graves, sans complaisance ou si peu, pour tenter de faire mouche, pour « coucher » la grive : avec aplomb !
Epiphonies — en quelque sorte, au sens du chant, de l’avènement. Où il serait l(o)isible que s’abouchent mystère et précision ; soleil, vent, oisiveté, ingrédients aux saveurs sûres. Où passent quelques ombres (Mallarmé, Ponge, Heaney, Doumet ou Goffette,...) et d’autres encore, en liberté. Où glisse un fleuve que l’on ressasse avec délice, sans tout à fait le dévier.
La fleur tait son nom aux chiens qu’elle tient en laisse.
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