Chant pour enfants morts
Chant pour enfants morts

Brisebois, Patrick  
  • Éditeur : Quartanier (Le)
  • Collection : Écho (#5)
  • EAN : 9782896982578
  • Code Dimedia : B0009525
  • Format : Poche
  • Thème(s) : LITTÉRATURE - FICTION & ESSAI
  • Sujet(s) : Littérature québécoise
  • Pages : 176
  • Prix : 12,95 $
  • Paru le 8 août 2016
  • Statut : Disponible
  • Code de recherche: CHAPEM
  • Groupe: Romans
  • Date de l'office: 4 août 2016
  • Code DEWEY:
  • Langue d'origine: français
  • Traducteur:
EAN: 9782896982578

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Chaque génération répète les erreurs de la précédente, mais chacune vit à sa manière ses peurs profondes. Isidore Malenfant est un écrivain de science-fiction raté. Comme pour son père Théodore, c’est avec les femmes que surviennent ses problèmes. Avec les femmes belles et fantasques, parfois brisées par le chagrin et la folie, avec les filles androgynes et les créatures ambiguës. Il s’installe un temps avec la charnelle Marilyn, mais celle-ci part pour Paris et le laisse seul. Peu à peu, quelque chose s’immisce dans la vie d’Isidore, un visage, une silhouette, alors qu’en kaléidoscope repassent les moments anxiogènes de sa jeunesse. Si c’est à Redfield Park qu’a commencé son histoire, naissance et mort jumelées, pour plus tard se figer à Montréal, c’est par Redfield Park à nouveau qu’elle devra se poursuivre.
 
Évoquant à la fois l’imaginaire des pulps à la Weird Tales et celui des kaidan, les histoires de Bukowski et le Black Hole de Charles Burns, Chant pour enfants morts crée un monde d’une étrange beauté, parce que douloureusement réel malgré tout.
 
« Rejeton un peu trash de Réjean Ducharme – la branche putative, qui est de loin la plus intéressante –, Brisebois a de la graine de contempteur, un phénomène trop rare dans la littérature québécoise. »
— Christian Desmeules, Le Devoir
 
« Des dialogues bien tournés, un sens aigu de la phrase écrite et de l’autodérision, la beauté, l’humour et la désolation tressés ensemble : tout ce qu’on aimait chez cet auteur se retrouve bonifié dans son troisième roman. Bienvenue dans les univers sordides mais hautement poétiques de Patrick Brisebois, une zone où l’on oscille constamment entre le pathos et la grâce, entre le tragique et la comédie. Un instant, on a les poumons comprimés tellement c’est massacrant, et la minute qui suit, on rigole. »
— Marie-Hélène Poitras, Voir
 




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