
Vie souterraine (La)
|
Mais qui est Gabor Varga, alias Lucien Etavard ? Volubile charmeur proche du monde de l’art, grand résistant contre l’occupant nazi, ou discret opportuniste ? Publicitaire évoluant dans les milieux huppés parisiens à la fin des années 30, Gabor aime les salles de jeux, les armes, l’art, les femmes, et surtout, la ténébreuse Tamara... Exilé dans un maquis de Dordogne sous l’Occupation, devenu Lucien, il est mêlé au casse d’un train de fonds devant servir à financer la Résistance. Mais face à sa disparition soudaine après l’attaque, concordant avec celle d’une partie du magot, ses compagnons d’armes douteront de son altruisme, surtout quand des années après la Libération, son retour coïncidera avec le meurtre d’une veille connaissance et à un trafic d’œuvres spoliées...
Sur la période s’étalant des années 30 à 50, nous suivons l’ascension et la chute d’un personnage haut en couleur, dans un environnement sombre comme dans un film sépia, où les personnages parlent avec des petites voix pincées. Et comme dans ces films d’époque, c’est la gloire, la richesse, la guerre, le meurtre et le sexe. Ça ne se passe pas à La Souterraine, mais peu importe, c’est ça La vie souterraine.
Service de presse (pour le Canada seulement) :
Gabrielle Cauchy, attachée de presse, 514 336-3941 poste 229 / [email protected]
NB : Les prix indiqués sont sujets à changements sans préavis.