Mirement / Towering [édition bilingue]
Mirement / Towering [édition bilingue]

Chevalier, Geneviève  
Bélanger, Gentiane  
Boucher, Mélanie  
Deneault, Alain  
Posthumus, Stéphanie  
Rogers, Heather  
  • Éditeur : CÉAC
  • Collection : Galerie UQO
  • EAN : 9782981979377
  • Format : Broché
  • Pages : 236
  • Prix : 30,00 $
  • Paru le 18 mars 2024

Cette publication recense l’ensemble du projet Mirement/Towering, et entreprend de défricher les territoires de pensée sous-jacents à la pratique de l’artiste Geneviève Chevalier. La trame discursive développée au creux des pages du livre inscrit le travail de l'artiste dans un horizon théorique en cours de développement sur l'art contemporain, l’écologie, l’économie et la philosophie de la nature.
 
Publication réalisée dans le cadre du projet Mirement/Towering de Geneviève Chevalier présenté à Dazibao, à la Galerie d’art Foreman de l’Université Bishop’s et à la Galerie UQO.

Cette publication a reçu le soutien du Conseil des arts et des lettres du Québec et de la Faculté d’aménagement, d’architecture, d’art et de design de l’Université Laval.

À propos de la Galerie UQO
La Galerie UQO est une galerie universitaire engagée dans le développement et la mise en valeur des pratiques artistiques et muséales contemporaines québécoises, canadiennes et internationales par la recherche, la création, l’éducation et la diffusion. Elle offre un espace de recherche et d’expérimentations où convergent théorie, critique et engagement social par l’innovation artistique et commissariale.

AUTEUR(S)

Gentiane Bélanger est directrice-conservatrice de la Galerie d’art Foreman de l’Université Bishop’s depuis 2015. Elle détient un baccalauréat en arts de l’Université Bishop’s, une maitrise en histoire de l’art de l’Université Concordia et un doctorat en histoire de l’art de l’Université du Québec à Montréal. Ses recherches sont soutenues par le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada, et portent sur les recoupements entre la théorie de l’art actuel et la philosophie de la nature. Elle enseigne l’histoire de l’art à l’Université Bishop’s et elle est membre du conseil d’administration de Sporobole. Ses écrits ont été publiés dans divers journaux universitaires, des revues spécialisées et des catalogues d’exposition, parmi lesquels figurent C Magazine, ESPACE, esse arts + opinions, ETC, les Cahiers de la Fondation de la Fondation Grantham pour l’art et l’environnement et Plastik la revue d’art & science.
 
Mélanie Boucher est professeure titulaire en muséologie et en histoire de l’art à l’Université du Québec en Outaouais. Elle est cofondatrice du groupe de recherche et de réflexion CIÉCO, qui réunit les principaux pôles d’études de la muséologie francophone au Québec et au Canada autour de recherches sur les collections et les musées d’art. Elle y assume la direction du projet de recherche-création « Créer avec les collections » (FRQSC 2022-2026) et l’axe 3 (la collection élargie) de la recherche du Partenariat « Des nouveaux usages des collections en musées d’art » (CRSH 2021-2028). Mélanie Boucher est également chercheuse principale de l’Équipe Art et Musée, qui réunit des commissaires d’exposition, des artistes visuels et des designers graphiques de trois universités québécoises, chercheuse principale du Groupe Origine et actualité du devenir objet du sujet : se recréer au musée, dans les expositions (CRSH 2021-2023) et membre de la Chaire de recherche en économie créative et mieux-être.
 
Alain Deneault est professeur de philosophie au campus de la Péninsule acadienne de l’Université de Moncton. Ses essais portent sur l’idéologie managériale, la souveraineté des pouvoirs privés et l’histoire de la notion polysémique d’économie. Il est l’auteur de Bande de colons, Gouvernance et La Médiocratie (Lux), et a fait paraitre plusieurs essais sur les multinationales et les souverainetés de complaisance chez Écosociété ainsi que Rue de l’échiquier.
 
Stéphanie Posthumus est professeure de littérature européenne au département des Langues, littératures et cultures de l’Université McGill, à Montréal. Pionnière de l’écocritique française, elle a publié la première monographie dans ce domaine, French Écocritique : Reading Contemporary French Fiction and Theory Ecologically (2017). Ses publications coéditées French Thinking about Animals (2015) avec Louisa Mackenzie et Mouvantes et émouvantes : les plantes à travers le récit (à paraitre, PUM) avec Rachel Bouvet ouvrent de nouvelles voies dans l’étude des plantes et des animaux. Elle a également participé à divers projets dans le champ émergent des humanités environnementales numériques et du posthumanisme, en examinant la manière dont les études technologiques et scientifiques s’articulent autour des questions de la nature et du plus-que-humain.
 
Heather Rogers (elle) est récemment diplômée du programme Digital Humanities de l’Université McGill. Ses recherches explorent l’intersection de la narration numérique, du nouveau matérialisme, de l’étude critique des plantes et de l’histoire botanique. Sa thèse intitulée Digitizing Botanical Herstory : Human-Plant Lives and the Collection of Dr. Dorothy Newton Swales portait sur la mise en récit des collections botaniques du Dr. Dorothy Swales, la première femme conservatrice de l’herbier de McGill, à travers la création d’une exposition numérique utilisant le logiciel Omeka. Sa recherche souhaite contribuer au domaine croissant des humanités environnementales numériques, en démontrant comment les outils numériques peuvent raconter de façon nuancée et entrelacée des récits sur les liens entre l’humain et le végétal.




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