Matamore no 29
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Edition revue par l'auteur
Avec une postface de Jean-François Chassay
«Alain Farah montre que le roman peut, encore aujourd'hui, être remis en question, bousculé dans ses mécanismes, sans que l'affaire ait nécessairement des relents de nostalgie ni que le bonheur de lecture en fasse les frais. [...] Le coefficient de difficulté était élevé, la réussite n'en est que plus éclatante. » — TRISTAN MALAVOY-EACINE, Voir
« Un roman à la narration détraquée, autobiographie électrique et collage délirant, hanté par la maladie, la mort, par une histoire personnelle et familiale tissée de migrations. [...] Le jouet d'une sorte de savant fou aux ambitions démesurées. » — CHRISTIAN DESMEULES, Le Devoir
« Mettre en scène la spontanéité est un exercice exigeant : l'effort doit disparaître derrière l'illusion de la facilité. Alain Farah est, à ce jeu, un maître illusionniste qui dissimule sous une folle désinvolture et un style proche de l'oralité un travail d'écriture rigoureux. [...] Le plaisir et le rire, au cœur de son écriture, sont contagieux. » — elsa pépin, Ici
«Un premier roman aussi audacieux que déconcertant, dont l'énergie loufoque est à la mesure des idées noires qu'elle veut combattre. » — Florence bouchy, Le Monde
« [Une] fête jubilatoire des possibles et un acte critique important, qui condamne ces oeuvres autofictives si convenues, si égocentriques qui refusent la force de l'invention. » — Michel nareau, Nuit Blanche
Né en 1979, Alain Farah publie avec Matamore no 29 son premier roman, quatre ans après son livre de poèmes Quelque chose se détache du port (Le Quartanier, 2004). Il complète actuellement une thèse de doctorat à l’École Normale Supérieure et à l’UQAM. Il vit à Montréal.
NB : Les prix indiqués sont sujets à changements sans préavis.