Quenamican
Quenamican

Magini, Roger  
  • Éditeur : Pleine Lune (De la)
  • Collection : Littérature
  • EAN : 9782890241572
  • Format : Broché
  • Pages : 258
  • Prix : 24,95 $
  • Paru le 16 mai 2005

Aussi disponible en version numérique:

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Prix des Écrivains francophones d’Amérique 2005



« Quand on a l'occasion de lire une plume pleine de vivacité, de découvrir des histoires transformées par l'imagination et réinvesties par l'écriture, de voir un écrivain s'emparer de la création comme d'une chose qui est sienne, on se dit que la littérature est une fête et l'écriture, un tourment et un apaisement « dans une identique jubilation », pour reprendre l'expression de Nerval. » - Suzanne Giguère, Le Devoir



Nuit du jeudi 25 au vendredi 26 janvier 1855 : Gérard de Nerval est trouvé pendu, rue de la Vieille-Lanterne, à Paris. Afin de commémorer le 150e anniversaire de cette triste nuit où le fou sublime s'en est allé pour un ultime voyage qu'il ne relatera jamais, Roger Magini a décidé de lui rendre hommage en écrivant Quenamican, un roman-voyage bien particulier que seule la littérature peut entreprendre et qui ne saurait exister que dans et par le texte, soulignant ainsi le lien indivisible qui unit la vie et l'écriture. Roger Magini, qui a « l'audace des grands rêveurs éveillés », crée littéralement un monde hors du temps dans lequel, oui, le rêve et la vie se confondent, nous entraînant, au-delà des lieux réels, sur les chemins du quenamican, cette contrée mythique « où l'on vit selon ses désirs ».



Quenamican fait appel, à travers la dépossession matérielle et amoureuse, aux fondements de l'aventure humaine, et marque le pouvoir de sublimation de la littérature. Avec ce grand hommage à Gérard de Nerval et à la femme aimée, Roger Magini célèbre à sa manière l'imaginaire du voyage… et nous transporte, entre rêve et réalité, de Paris à Mexico, via les Corbières, non-stop.

AUTEUR(S)

Roger Magini poursuit depuis 1973 une œuvre inclassable, sorte de plongée au cœur des ténèbres de l’âme humaine. Il était finaliste au Prix du Gouverneur général en 1996 pour son roman Un homme défait et en 2000, pour STYX, roman traduit depuis en espagnol et paru chez l’éditeur argentin Alción Editora en 2003.




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