De mon chien comme preuve irréfutable de l'inexistence d'un dieu omniprésent
De mon chien comme preuve irréfutable de l'inexistence d'un dieu omniprésent
Larcenet, Manu  
  • Éditeur : Six pieds sous terre
  • Collection : Lépidoptère (#23)
  • EAN : 9782352120223
  • Format : Broché
  • Pages : 56
  • Prix : 13,95 $
  • Paru le 20 août 2007

De mon chien comme preuve irréfutable de l'inexistence d'un Dieu omniprésent nous lance dans une journée de la vie d'un chien. On est cependant très loin d'une vie de chien, tout le contraire : dormir, manger, chier, déchirer les coussins, renifler le cul des autres etc..., soit plutôt quelque chose que bien des gens regarderaient la bave aux lèvres (quoique pour renifler le cul, je suis pas bien sur...).

Croqué d'après nature, le clebs de Manu Larcenet semble mener une vie de patachon, la vraie vie de bien des chiens en fait.

Une biographie canine en quelque sorte dont la conclusion ne va pas nécessairement trouver un écho favorable auprès de la frange rigide des canidés. On retrouve avec bonheur le trait “laché” du croquis pris sur le vif pour ce récit muet qui laisse également muet par son élégance.



AUTEUR(S)

Né en 1969 de parents connus (et gentils), Manu Larcenet vit à Vélizy une enfance peinarde — en dehors des crises d’angoisse qui lui gâchent la vie. Vers dix ans, il se lance dans la BD, il en fait tous les jours et il n’arrêtera plus jamais. En 1991, il tente de se faire réformer de manière assez violente, mais ça ne marche pas, et il gagne un séjour en bataillon disciplinaire — une expérience qu’il ne souhaite pas à son pire ennemi. Libéré, il emménage dans un squat avec des copains musiciens et se lance à fond dans la musique, tout en continuant de dessiner. Ses dessins passent dans différents journaux de rock. Sur un coup de tête, il laisse tomber le groupe et reprend des études qu’il laisse tomber aussi parce qu’il intègre Fluide glacial en 1994. Là, il devient à la mode et tout le monde le veut. Dans la foulée, il fonde avec Nicolas Lebedel sa propre boîte d’édition, “Les Rêveurs de runes”, où il publie quelques albums autobiographiques qui ne cadrent avec aucune structure. Vers la fin du XXe siècle, il rencontre Guy Vidal et sa collection Poisson Pilote (Dargaud) encore en gestation. Le courant passe, et il s’installe chez Poisson Pilote. Entre-temps, en juin 2001, il quitte Paris et ses lumières pour la brousse lyonnaise. (Source Dargaud - extraits). Il travaille avec de nombreux auteurs (et pas des moindres) comme Lewis Trondheim, Joann Sfar, Daniel Casanave, Ferry, Pat Larcenet...








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