Vers d'autres rives
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« Un livre à lire pour la beauté du texte, mais aussi pour la douceur de cette vie doucement dessinée devant nos yeux. »
Mélissa Pelletier – Clin d’œil
« En personne comme dans ses livres, les idées de Dany Laferrière semblent parfois se succéder de façon disparate et, pourtant, tout coule de source. Dans Vers d’autres rives, l’écrivain reprend la même approche formelle que pour Autoportrait de Paris avec chat : récits fragmentés, écriture manuscrite, dessins naïfs et colorés. »
Isabelle Houde – Le Soleil
[Entrevue]
« C’est fort intéressant. C’est un vrai livre, une vraie biographie. Il nous envoie des souvenirs autant que des trucs anodins et, à travers tout ça, il y a des histoires. Même à travers les dessins et les histoires qu’il raconte, il a toujours une réflexion. Une biographie délicieusement écrite. C’est assez réussi. On sent son âme et son cœur. »
Franco Nuovo – Radio-Canada/Pénélope
[Critique]
« Dans Vers d’autres rives, Dany Laferrière poursuit sur sa lancée autobiographique en explorant sa généalogie artistique. Il rend hommage à l’audace des artistes haïtiens et à la sagesse de Da, sa grand-mère adorée. Entre les poèmes de René Depestre et les explosions de couleurs de Philomé Obin, l’écrivain académicien nous convie à un voyage sensuel teinté de nostalgie. »
Nathalie Collard – La Presse +
[Entrevue]
« C’est beau. C’est chaleureux. Il y a une forme de générosité dans ce livre. Il nous fait découvrir des poètes, des peintres. C’est habité de personnages, d’histoires. Dany Laferrière est un fin conteur. Un de ses livres les plus sensuels. »
Claudia Larochelle – Radio-Canada/Le Téléjournal
« À chaque fois, que je tiens un livre de Dany Laferrière, j’ai l’impression de retrouver un vieil ami. Il a cette façon de créer l’intimité. Beaucoup d’anecdotes, de petites perles de poésie. Un très, très beau livre. »
Katherine Verebely – Radio-Canada/Samedi et rien d’autre
[Entrevue à Dessine-moi un dimanche (RC)]
« Poursuivant l’aventure commencée avec son Autoportrait de Paris avec Chat, entièrement écrit et dessiné à la main, Dany Laferrière revient avec Vers d’autres rives. Riche et coloré, ce nouveau roman illustré fait découvrir à la fois l’enfance de l’écrivain en Haïti, ses souvenirs, mais aussi ses peintres et ses poètes préférés. »
Marie-France Bornais – Journal de Montréal
[Entrevue]
« Vers d’autres rives se lit comme on déguste un bon repas. Au menu de ce festin autobiographique, quelques ingrédients marquants de sa vie: les cafés de sa grand-mère à Petit-Goâve, les couleurs des façades à Port-au-Prince, le bananier à sa fenêtre à Miami… Le tout assaisonné d’une grande dose de poésie. »
Marie-Lise Rousseau – Métro
[Entrevue]
« Un très, très beau livre. »
Marie-Louise Arsenault – Radio-Canada/Plus on est de fous, plus on lit
[Entrevue]
« En invitant les poètes et les peintres de son pays natal à lui donner la réplique, l’académicien nous entraîne dans un royaume enchanté par l’art et l’imagination. Ainsi son quotidien devient-il mythologique à coups d’images folles et de rêves. »
Odile Tremblay – Le Devoir
« [Dany Laferrière] rêvait d’une biographie qui exclurait les dates et les lieux. Pour moi, le résultat est absolument émouvant, puisant. Un livre sublime. »
Enki Bilal - Radio-Canada/La Librairie Francophone
[Entrevue]
[Entrevue à Tout le monde en parle (RC)]
[Entrevue dans Le Devoir]
« Quel bonheur de pénétrer dans son monde, alitée, de goûter les mangues juteuses et les poètes haïtiens, de savourer ses dessins d’artisan. Le fait-main, y a que ça. C’est une médecine efficace pour à peu près tout. On sent l’affection dans le geste, comme goûter des madeleines ou des confitures maison. Il y a une lenteur toute tropicale dans ce livre, une paresse doublée de chaleur accablante qui vous plombe l’empressement. »
Josée Blanchette – Le Devoir
« Le nouveau Dany Laferrière manuscrit est différent d’Autoportrait de Paris avec Chat : plus petit, moins touffu, plus touchant. Les relents de l’enfance à Haïti y sont distillés avec douceur et couleurs vives, alors que la période Miami avec ses réflexions sur la famille et le métier d’écrivain nous permettent de renouer avec le génie de Laferrière. »
Isabelle Houde – Le Soleil
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