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« C’est surprenant, voire délirant, à la fois original et ancré dans la réalité. On ne s’ennuie pas. »
Josée Boileau – Journal de Montréal
[Critique]
[Entrevue à Plus on est de fous, plus on lit (RC)]
Cultiver l'émerveillement
Catherine L'Écuyer
Nouveautés de la semaine
DANS LES MÉDIAS
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« C’est surprenant, voire délirant, à la fois original et ancré dans la réalité. On ne s’ennuie pas. »
Josée Boileau – Journal de Montréal
[Critique]
[Entrevue à Plus on est de fous, plus on lit (RC)]
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« Docteure en cinéma, Faradji maîtrise son sujet - ses considérations techniques sur les films sont passionnantes - , a le sens de l’image et du récit explicatif. »
Louis Cornellier – Le Devoir
[Entrevue au 15-18 (RC)]
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« C’est un livre magnifique issu d’une thèse, ce qui en soi est rare. C’est aussi une grande injustice qui est réparée : l’ouvrage de Marie Letellier On n’est pas des trous-de-cul, initialement publié chez Parti pris, en 1971, sous la férule de Gérald Godin, nous revient enfin. »
Ralph Elawani – Le Devoir
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« J’ai adoré. Un véritable coup de cœur ! »
Doris Larouche – Radio-Canada/Style libre
[Entrevue]
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« Encore au XXe siècle, une certaine élite réglait en coulisses les affaires de l’État dans des clubs privés interdits aux femmes. Le prestige de ces endroits semblait proportionnel à leur capacité d’exclure ceux qui n’avaient pas droit de cité. Pour la professeure Martine Delvaux, bien que les salons aient disparu, le modèle du boys club perdure. »
Jean-Philippe Cipriani – L’actualité
[Critique]
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« Les trentenaires jumelles Stratis, qui s’intéressent particulièrement à la condition féminine et à la parentalité, se sont inspirées des histoires d’autres mères pour concocter cet ouvrage souvent drôle, profond, actuel et rassembleur autour de thèmes qui vont droit au but, sans tabou, sans langue de bois. Salvateur. »
Claudia Larochelle – L’actualité
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« À travers l’histoire inépuisable de sa famille, il nous raconte aussi un petit peu de la nôtre. Et l’allume-cigarette de la Chrysler noire dans tout ça ? Ce n’est pas vraiment important, ce qui compte, c’est la troublante sagesse qui se dégage de toutes ces aventures racontées de main de maître. »
Jacques Lanctôt – Journal de Montréal
[Critique]
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« Dans Les grandes affaires politiques américaines, la politologue Karine Prémont présente avec clarté et vigueur huit événements qui ont marqué l’histoire récente du pays. Son style allie la précision factuelle à la fluidité narrative. Lire ses textes est aussi agréable et captivant que regarder une télésérie historique, avec, en prime, le sceau de la rigueur. »
Louis Cornellier – Le Devoir
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« Quel bonheur de pénétrer dans son monde, alitée, de goûter les mangues juteuses et les poètes haïtiens, de savourer ses dessins d’artisan. Le fait-main, y a que ça. C’est une médecine efficace pour à peu près tout. On sent l’affection dans le geste, comme goûter des madeleines ou des confitures maison. Il y a une lenteur toute tropicale dans ce livre, une paresse doublée de chaleur accablante qui vous plombe l’empressement. »
Josée Blanchette – Le Devoir
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[Entrevue à Style libre (RC)]
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« Sur une île tropicale fictive, le jeune Samuel est donné en mariage à une femme d’âge mûr, de qui il doit satisfaire tous les désirs. Dans cette fable romanesque audacieuse et déstabilisante, Larry Tremblay inverse les rôles pour mieux ébranler notre compréhension de la domination des sexes. »
Anne-Frédérique Hébert-Dolbec – Châtelaine
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« Un ouvrage à lire ! »
Marie-Louise Arsenault – Radio-Canada/Plus on est de fous, plus on lit
[Entrevue]