Fin de l'alphabet (La) [nouvelle édition]
| Aussi disponible en version numérique: |
«La fin de l’alphabet est un livre important. Il m’habite toujours et, je l’avoue, me fait pleurer à tous les coups. À l’occasion du dixième anniversaire d’Alto, c’est ce livre que nous avons offert à l’achat de deux titres de la collection CODA. J’étais et je demeure persuadé qu’il est une pièce importante de notre catalogue. En cela, je refuse bien amicalement qu’il croupisse au fond des librairies, loin de la lumière de l’office et encore moins touché par la grâce du réassort. Alors je le relance, sous un nouveau couvert signé par le couple de photographes espagnols Anna Cabrera et Ángel Albarrán. Que cette belle histoire d’amour soit ornementée par un couple est un signe que ce livre renaît sous des auspices favorables. Mais ce n’est pas tout, quelques semaines après la parution, nous lancerons le livre audio, narré par Michel Richard (qui a été comme moi conquis par le roman) et serti de la musique de Noiserv, un multiinstrumentiste portugais que j’ai fait découvrir à Michel (devenu depuis un fan) et dont les mélodies évoquent les plus belles années de Yann Tiersen. Et c’est ainsi qu’ensemble, nous allons renouer avec les lectrices et les lecteurs et les réenchanter. »
Monsieur Alto
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Toute cette histoire est assez improbable. Elle aurait pu commencer par un dimanche matin baigné par un soleil d’avril, entre la maigreur de l’hiver et les rondeurs du printemps, et se terminer dans l’allégresse au crépuscule.
Mais ce n’est pas de cette histoire qu’il s’agit.
Ce jour-là, Ambroise Zéphyr échoue à son examen médical. Verdict : il est atteint d’une maladie incurable qui ne lui laisse que trente jours à vivre. Fasciné depuis l’enfance par les abécédaires et les caractères d’imprimerie, ce graphiste féru d’art et d’histoire décide de prendre le large et de s’offrir un dernier (et merveilleux) périple autour du monde avec sa femme Zappora Ashkenazi. Premier arrêt : A pour Amsterdam, puis B pour Berlin, C pour Chartres… Mais qu’arrivera-t-il lorsque viendra la lettre Z, la fin de l’alphabet ?
Prix du Commonwealth (Premier roman, Canada et Caraïbes)
Finaliste – Prix littéraire du Gouverneur général (Catégorie traduction)
Publié dans une quinzaine de pays
Ce que la presse en dit :
****« Ce petit livre a des allures de conte de fées. […] C’est une ode à l’amour, et rien ne met autant en relief son éclat que la noirceur de la mort. »
La Presse
« Lucidité, quotidienneté, intermèdes magiques et éternité amoureuse teintent ces mots qui nous changent un peu, sans le vouloir, qui se frayent un chemin entre deux viscères au coeur. »
Claudia Larochelle
« Une douce célébration de la vie qui se lit d’un trait. De A à Z. »
Le Soleil
« Sitôt refermé, ce livre vous sourit, vous appelle. Vite, le relire. L’offrir en cadeau, aussi. À tous vos amis, vos proches. Comme on offre une bouffée de fraîcheur, un moment de bonheur. »
Le Devoir
Traduit de l’anglais par Sophie Voillot
Auteur et concepteur graphique établi à Toronto, grand amateur d’art et de belles choses, Charles Scott Richardson a vu son travail maintes fois récompensé. Il a entre autres remporté le Prix du Commonwealth du premier roman avec La fin de l’alphabet, publié dans une quinzaine de pays.
NB : Les prix indiqués sont sujets à changements sans préavis.