Singapour, laboratoire de l'avenir
Singapour, laboratoire de l'avenir
Riopel, Alexis  
Mazataud, Valérian (Photographies de) 
  • Éditeur : Somme toute / Le Devoir
  • Collection : Hors-collection
  • EAN : 9782925291244
  • Code Dimedia : 000233721
  • Format : Broché
  • Thème(s) : BEAUX-ARTS, DIVERS, GÉOGRAPHIE & TOURISME, SCIENCES HUMAINES & SOCIALES
  • Sujet(s) : Architecture / Urbanisme, Asie, Essai - Divers, Histoire & géographie
  • Pages : 128
  • Prix : 24,95 $
  • Paru le 22 janvier 2024
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EAN: 9782925291244

Aussi disponible en version numérique:

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Singapour est considéré comme un « laboratoire de l’avenir ». De la contrainte de l’espace découlent de nombreuses politiques publiques qui, vues d’ici, paraissent radicales. Singapour, laboratoire de l’avenir est un reportage mettant en lumière ses expériences draconiennes en matière de développement économique, d’urbanisme, d’habitation, d’alimentation ou encore de transport. Est révélée l’immensité des possibilités qui s’offrent à nous pour relever les défis de l’avenir.
 
En octobre 2022, le journaliste Alexis Riopel et le photographe Valérian Mazataud ont visité le pays et sont revenus avec une série de textes et de photographies sur cette cité-État fascinante et méconnue.

AUTEUR(S)

Alexis Riopel est journaliste au Devoir depuis 2018. Après un baccalauréat en physique (Université de Montréal) et une maîtrise en sciences atmosphériques et océaniques (Université McGill), il est lauréat de la bourse Fernand-Seguin en journalisme scientifique en 2017. Il couvre surtout l'environnement et les sciences.
 
Valérian Mazataud est un photographe basé à Montréal. Il fait partie de l’équipe photo du quotidien Le Devoir depuis 2018 et a également publié des reportages dans de nombreux médias canadiens et internationaux (The Globe and Mail, Le Monde, Courrier International). Il est récipiendaire de plusieurs prix, bourses et résidences artistiques. Il a publié des ouvrages de photographies ainsi que le long reportage Fuir le couloir de la sécheresse (Somme toute).

Extrait

« Le manque d’espace dans la cité-État s’est révélé, en pratique, un formidable incubateur d’ingéniosité. Chaque centimètre carré de l’île, véritable laboratoire de densité urbaine, est mis à profit. Le gouvernement a d’ailleurs les coudées franches : à la suite de ses acquisitions incessantes, il possède environ 90 % du territoire. Aux industriels et aux résidents, il vend des baux emphytéotiques, souvent de 99 ans. »




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